On ne sait pas où veut en venir le narrateur, qui philosophe d'abord sur l'éternel féminin et sur une mystérieuse
Madame Firmiani : elle tient salon, est mariée (mais son mari est absent), a de nombreux admirateurs. On la dit courtisane, ayant possiblement ruiné un jeune noble, Oscar de Camps. L'oncle de ce jeune homme vient à Paris pour faire la lumière sur cette affaire. Il rencontre
Madame Firmiani, tombe sous son charme mais ne peut la cerner. Il va enfin chez son neveu, qui lui dira toute la vérité : il est marié avec elle, s'est ruiné car le sens moral de sa femme ne pouvait s'accommoder que sa fortune provienne d'une escroquerie légale commise par le père du jeune homme : il a restitué sa fortune à la famille lésée. Ce court roman se termine par un happy end : la preuve de la mort de Monsieur Firmiani est enfin apportée, ce qui permettra a sa veuve (mais néanmoins bigame ?) d'hériter.
Commenter  J’apprécie         30