Que dire... On est soufflés de bout en bout, c'est Dallas dans le Gâtinais. Autour de la fortune du vieil oncle se jouent d'inénarrables querelles de famille, et tous les coups sont permis : mensonges et menaces, usurpations, machinations, coups bas et même un peu de spiritisme (ou peut-être de messmérisme) auquel
Balzac semblait croire encore plus qu'Hugo. Passé la dixième page, on est pris et on ne referme le livre qu'une fois le dénouement atteint, c'est pire qu'une saison de House of Cards.
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