J'ai lu les "Splendeurs de la vie de province" adolescente et ne jurais à l'époque que par
Balzac, qui savait allier une très belle prose, une description au scalpel des moeurs de l'époque, sans en rajouter une grande louche de moralisme comme d'autres auteurs que le système scolaire me faisait lire à l'époque.
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