Critique complète sur le site.
Une tension dramatique malsaine s'installe dans le tutoiement perturbant que le narrateur adresse à sa silencieuse compagne — miroir, reflet, pâle ombre de lui-même —, accrue par l'ambiguïté de la relation du couple avec le lieutenant ambivalent. La cruauté d'
Un chant de pierre se réverbère en échos multiples et mêlés — réminiscences gothiques, sadiennes et gracquiennes. Noires, assurément.
Lien :
https://lesfeuillesvolantes... Commenter  J’apprécie         60