>
Critique de Pachy
Mon deuxième livres en quelques mois sur la perte d'un enfant, racontée par une mère. D'abord le très beau roman d'Agnès Ledig et celui-ci-ci de Brigitte Barbier.
Si je n'ai pas, volontairement, employé le terme de roman pour celui-là, c'est que ce n'en est pas un. C'est un témoignage. du vécu. Lecture d'autant plus dur pour moi, c'est que Martin était un ami de ma fille. Ils étaient dans la même classe au collège.
Il quitte la vie après avoir vécu l'enfer des hôpitaux, des chimios, des IRM, des séquelles d'opérations.
Brigitte Barbier a voulu laisser un témoignage de ce qu'elle a vécu et qu'elle vit encore. Avant, pendant et après. Oh non ! Pour ceux qui seraient entés de penser qu'elle profite pour faire de l'argent avec son livre se trompent complètement. C'est même une pensée odieuse et diffamatoire. Il suffit de discuter avec elle, commeje l'ai fait, pour être convaincu du contraire. Être convaincu que ce récit l'aide à évacuer sa souffrance qu'il ne réussira , elle comme tous ceux qui perdent un enfant, jamais à évacuer complètement.
Là où il est, elle n'est pas. Là où elle est elle pleure, elle hurle sa souffrance.
Lire ce récit nous permet à nous de relativiser. Nos ados sont parfois difficiles ? C'est vrai mais ils sont près de nous, bien vivants. Ils deviendront des adultes, des parents…. Martin n'a pas eu cette chance.
Je terminerai par un message qui s'adresse aussi à sa maman et à son papa, Martin, aucun, aucune de ses camarades ne l'ont oublié
Si je n'ai pas, volontairement, employé le terme de roman pour celui-là, c'est que ce n'en est pas un. C'est un témoignage. du vécu. Lecture d'autant plus dur pour moi, c'est que Martin était un ami de ma fille. Ils étaient dans la même classe au collège.
Il quitte la vie après avoir vécu l'enfer des hôpitaux, des chimios, des IRM, des séquelles d'opérations.
Brigitte Barbier a voulu laisser un témoignage de ce qu'elle a vécu et qu'elle vit encore. Avant, pendant et après. Oh non ! Pour ceux qui seraient entés de penser qu'elle profite pour faire de l'argent avec son livre se trompent complètement. C'est même une pensée odieuse et diffamatoire. Il suffit de discuter avec elle, commeje l'ai fait, pour être convaincu du contraire. Être convaincu que ce récit l'aide à évacuer sa souffrance qu'il ne réussira , elle comme tous ceux qui perdent un enfant, jamais à évacuer complètement.
Là où il est, elle n'est pas. Là où elle est elle pleure, elle hurle sa souffrance.
Lire ce récit nous permet à nous de relativiser. Nos ados sont parfois difficiles ? C'est vrai mais ils sont près de nous, bien vivants. Ils deviendront des adultes, des parents…. Martin n'a pas eu cette chance.
Je terminerai par un message qui s'adresse aussi à sa maman et à son papa, Martin, aucun, aucune de ses camarades ne l'ont oublié
