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Critique de Livriotte
La sirène et le scaphandrier, un titre très poétique pour un roman qui l'est tout autant.
Dans ce roman, nous suivons Zach et Hanna, l'un est derrière les barreaux dans une prison bien réelle tandis que l'autre est enfermée chez elle, paralysée par son agoraphobie. Alors que rien ne les predestinait a se rencontrer, Zach et Hanna vont entretenir une correspondance écrite.
Narré sous la forme d'un roman épistolaire moderne, La Sirène et le scaphandrier alterne entre les moments de narration et les lettres reçues. Chaque chapitre correspond à une lettre. Ils sont assez courts et donne un rythme soutenu au récit. J'ai beaucoup apprécié que l'auteure ajoute des passages narratifs. Je dois vous avouer que je ne suis pas une grande fan du style épistolaire car je trouve que cela manque de détails et de richesse et il est moins facile de cerner les personnages. Ces moments de narration sont donc indispensables pour moi et donnent une vraie plus value au récit
Les deux personnages sont attachants. Zach est très humain et, malgré sa situation actuelle, on ne tombe pas dans le personnage bad boy. Au contraire, le message véhiculé par l'auteure concernant les détenus est bienveillant et plein de positivité. D'ailleurs, tout comme Hanna, nous ne savons pas ce qui l'a conduit ici et au fond peu importe car là n'est pas l'importance. Même si nous sommes amenés a le découvrir à la fin, cet élément aurait très bien pu être omis, cela ne m'aurait pas dérangée.
Malgre tout, j'ai trouvé ce roman trop court, comme c'est souvent le cas avec les bouquins de moins de 300 pages. J'aurais aimé que l'auteure approfondisse davantage l'histoire car certains événements vont parfois trop vite a mon goût.
Pour résumer, c'est un agréable roman qui se lit tout seul. le style est fluide et l'ambiance très feel-good. Si vous êtes d'humeur morose, vous pouvez foncez, ce roman saura vous décrocher un sourire sans tomber dans le cliché.
Lien : https://www.instagram.com/li..
Dans ce roman, nous suivons Zach et Hanna, l'un est derrière les barreaux dans une prison bien réelle tandis que l'autre est enfermée chez elle, paralysée par son agoraphobie. Alors que rien ne les predestinait a se rencontrer, Zach et Hanna vont entretenir une correspondance écrite.
Narré sous la forme d'un roman épistolaire moderne, La Sirène et le scaphandrier alterne entre les moments de narration et les lettres reçues. Chaque chapitre correspond à une lettre. Ils sont assez courts et donne un rythme soutenu au récit. J'ai beaucoup apprécié que l'auteure ajoute des passages narratifs. Je dois vous avouer que je ne suis pas une grande fan du style épistolaire car je trouve que cela manque de détails et de richesse et il est moins facile de cerner les personnages. Ces moments de narration sont donc indispensables pour moi et donnent une vraie plus value au récit
Les deux personnages sont attachants. Zach est très humain et, malgré sa situation actuelle, on ne tombe pas dans le personnage bad boy. Au contraire, le message véhiculé par l'auteure concernant les détenus est bienveillant et plein de positivité. D'ailleurs, tout comme Hanna, nous ne savons pas ce qui l'a conduit ici et au fond peu importe car là n'est pas l'importance. Même si nous sommes amenés a le découvrir à la fin, cet élément aurait très bien pu être omis, cela ne m'aurait pas dérangée.
Malgre tout, j'ai trouvé ce roman trop court, comme c'est souvent le cas avec les bouquins de moins de 300 pages. J'aurais aimé que l'auteure approfondisse davantage l'histoire car certains événements vont parfois trop vite a mon goût.
Pour résumer, c'est un agréable roman qui se lit tout seul. le style est fluide et l'ambiance très feel-good. Si vous êtes d'humeur morose, vous pouvez foncez, ce roman saura vous décrocher un sourire sans tomber dans le cliché.
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