Quatre cent pages de Première Guerre Mondiale, de tranchées, d'explosions, d'obus, de boue, de froid, de peur, d'hiver, de camaraderie, de brefs répits, puis à nouveau des fusils, des assauts, des saignements, des déchirements, des feux, des pansements et des morts, des morts, des morts. Sur ce seul thème, une vraie leçon de littérature où par le talent des mots on est plongés dans la gadoue et
l'enfer.
Commenter  J’apprécie         80