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Critique de Tatooa
Toujours plus, c'est la devise de James Barclay, semble-t-il !
J'ai retrouvé la saga des Ravens avec toujours autant de plaisir. Je croyais que ce livre se passait longtemps après les trois premiers, surprise je fus en me rendant compte qu'en fait seulement deux saisons étaient passée !
Du coup, on retrouve notre petite troupe comme on l'avait laissée à la fin du tome 3, dans les conséquences des événements provoqués par Lyanna sur Balaïa, qui est à l'agonie...
Comme si ça ne suffisait pas, les collèges de Magie s'entrebouffent et tentent de se procurer tous les moyens de surpasser (voire d'anéantir) leurs adversaires. Bref, c'est un énorme binze.
Et une fois de plus, les Ravens vont se retrouver pris dans un engrenage type boule de neige, alors qu'au départ ils étaient partis pour tout autre chose.
Ici nous croisons davantage le peuple des elfes, qui habitent le continent de Calaius, et la description et du peuple et de leur environnement est un réel plaisir ! (moi qui ne supporte guère les "matoutous" martiniquais (Tarentules de la taille d'une main) et qui n'envisage pas une seconde d'aller mettre ne serait-ce que le petit orteil dans une forêt tropicale tant je crains les bêbêtes, ô que je comprends les Ravens quand ils pestent après cet environnement hostile, dans tous les sens du terme ! Arf !).
A partir de ce voyage, tout va aller de mal en pis et c'est en passant par a-coups des Ravens, aux groupes d'elfes qui combattent de mystérieux agresseurs dans leur forêt et leur temple, aux agresseurs en question, par petites touches, que James Barclay donne un rythme soutenu, pour ne pas dire haletant, à son roman.
C'est prenant, envoûtant, plein de batailles épiques, de combattants féroces, et si les elfes sont parfois agaçants parce que trop hautains, ils n'en sont pas moins attachants dans leur quête contre un génocide annoncé.
Bref, j'ai pris un pied pas possible en lisant ce bouquin. de plus, l'histoire se clôt en fin de tome, ce qui fait qu'on peut reposer le livre apaisé, une fois la dernière page tournée, même si on est triste. Un plaisir assez rare, en nos temps troublés de capitalisme forcené exigeant l'achat immédiat du tome suivant pour avoir une fin qui souvent n'en est pas une.
Bref, un vrai coup de coeur pour ce nouveau tome de la saga des Ravens !
J'ai retrouvé la saga des Ravens avec toujours autant de plaisir. Je croyais que ce livre se passait longtemps après les trois premiers, surprise je fus en me rendant compte qu'en fait seulement deux saisons étaient passée !
Du coup, on retrouve notre petite troupe comme on l'avait laissée à la fin du tome 3, dans les conséquences des événements provoqués par Lyanna sur Balaïa, qui est à l'agonie...
Comme si ça ne suffisait pas, les collèges de Magie s'entrebouffent et tentent de se procurer tous les moyens de surpasser (voire d'anéantir) leurs adversaires. Bref, c'est un énorme binze.
Et une fois de plus, les Ravens vont se retrouver pris dans un engrenage type boule de neige, alors qu'au départ ils étaient partis pour tout autre chose.
Ici nous croisons davantage le peuple des elfes, qui habitent le continent de Calaius, et la description et du peuple et de leur environnement est un réel plaisir ! (moi qui ne supporte guère les "matoutous" martiniquais (Tarentules de la taille d'une main) et qui n'envisage pas une seconde d'aller mettre ne serait-ce que le petit orteil dans une forêt tropicale tant je crains les bêbêtes, ô que je comprends les Ravens quand ils pestent après cet environnement hostile, dans tous les sens du terme ! Arf !).
A partir de ce voyage, tout va aller de mal en pis et c'est en passant par a-coups des Ravens, aux groupes d'elfes qui combattent de mystérieux agresseurs dans leur forêt et leur temple, aux agresseurs en question, par petites touches, que James Barclay donne un rythme soutenu, pour ne pas dire haletant, à son roman.
C'est prenant, envoûtant, plein de batailles épiques, de combattants féroces, et si les elfes sont parfois agaçants parce que trop hautains, ils n'en sont pas moins attachants dans leur quête contre un génocide annoncé.
Bref, j'ai pris un pied pas possible en lisant ce bouquin. de plus, l'histoire se clôt en fin de tome, ce qui fait qu'on peut reposer le livre apaisé, une fois la dernière page tournée, même si on est triste. Un plaisir assez rare, en nos temps troublés de capitalisme forcené exigeant l'achat immédiat du tome suivant pour avoir une fin qui souvent n'en est pas une.
Bref, un vrai coup de coeur pour ce nouveau tome de la saga des Ravens !
