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Critique de Chocolatiine


Nous sommes en 1861. Hervé Joncour avait 32 ans. Il avait un métier étranger, bien loin de la carrière militaire que son père avait rêvée pour lui : il achetait et vendait des vers à soie. Au commencement, il partait en Egypte, une fois par an, le premier janvier, et revenait à temps pour la messe le premier dimanche d'avril.
Cette année-là, pourtant, une maladie décime les vers à soie en Europe, en Afrique, partout... sauf au Japon, alors complètement fermé au monde. C'est ainsi qu'Hervé Joncour changea de destination.

L'ami Italien qui m'a offert ce roman, dans sa langue d'origine, ne m'avait pas menti : ce roman est une petite merveille. Petite, car il ne fait en effet qu'une centaine de pages.
Merveille, car l'écriture d'Alessandro Baricco est d'une légèreté infinie. Je retiendrai, plus particulièrement, la lettre en japonais que reçoit Hervé Joncour dans les derniers chapitres, dont la sensualité hypnotisante ne saurait laisser personne indifférent.

Challenge ABC 2017/2018
Challenge Petits plaisirs 2017
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