Années 1860. Suite à une épidémie de pébrine, Hervé Joncour est désigné par son village pour partir à l'étranger se procurer des vers à
soie. Ses premières destinations seront la Syrie et l'Egypte, puis le Japon. Ce pays fermé aux étrangers ne va pas décourager notre héros qui va faire quatre expéditions longues et dangereuses afin d'acheter la matière première permettant à ses concitoyens de maintenir leur activité.
Ce texte est très court, permettant au lecteur de laisser courir son imagination. Il m'a laissé un malaise, étant tout à la fois très, trop suggestif, pour une grande part du récit, alors que l'auteur insiste lourdement et de manière assez inutile dans d'autres passages. Je pense en particulier à la volière, mais surtout à la lettre en toute fin du récit. Un texte somme toute assez lisse et académique qui n'a rien éveillé en moi.
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