Parce que j'aimais ses chroniques dans l'hebdomadaire Marianne. Parce que c'est l'un des bouquins les plus construits et les plus apaisés que j'ai pu lire sur l'influence politique des religions, et la violence qu'elle peut engendrer. Dieu (surtout lui) sait pourtant que c'est un sujet qui sent la poudre.
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