Après son hommage à ses chevaux, Bartabas change de registre et se lance dans des chants à l'animalité crue, où la violence, la mort et la sexualité entremêlent homme bestial et animaux.
Une lecture étonnante donc, mais qui rend hommage à la nature telle qu'elle est : sauvage et sans pitié, mue par des lois immortelles où les sentiments humains n'ont pas leur place.
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