Ce recueil de Beaudelaire, comme l'évoque son nom, parle avant tout du mal afin d'en extraire une certaine beauté. Il fait, en effet, part de beaucoup de choses qui pour la société du 19 eme siècle n'étaient pas acceptable, ce qui lui vaudra un procès l'année même de sa parution.
Pourtant, ce n'est pas cela qui fait de ce recueil, celui que j'ai le moins apprécié : je n'ai pas aimé les texte en eux même qui me paraissent sans trop d'intérêt et un peu trop farfelu. On retrouve un texte en latins et certains poèmes on été pour moi incompréhensible.
Mais
Les Fleurs du Mal mettent tout de même en avant des sujets que l'on introduit peu dans la poésie et qui peuvent faire écho à l'heure actuelle.
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