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Critique de fanfanouche24
Une découverte inattendue en fouinant dans une de mes librairies préférées, La librairie Tschann, bd du Montparnasse... où j'ai déniché dans leur secteur "Poésie" très fourni... ce petit recueil plein de mélancolie, au titre si suggestif...
Et en faisant des recherches, j'apprends que cet écrivain-poète est décédé prématurément en 2010…et qu'il laisse de nombreux autres textes de qualité.
Ce recueil de poésies et de proses diffuse nostalgie, mélancolie… à travers le prisme de souvenirs les plus ténus, les plus infimes…Ce titre « Dimanches, un dimanche »…m'a infiniment touchée.
« Dans le grand poème des jours une main tenait sa main- il faudra recommencer demain et du pied pousser la pierre et dresser l'échelle dans la grange et moudre le grain cuit pour boire le café- et ne pas mourir de chagrin » (p.11)
Je me permets de transcrire un extrait du quatrième de couverture , de Véronique Chaine… qui dit si bien l'atmosphère et le ton de ces textes : « le dimanche de Joël Baudry, c'est celui d'un homme seul qui se souvient, celui d'un enfant qui accompagne son père sur une tombe, celui d'un soldat dans les tranchées, celui d'une femme qui dit son amertume, celui d'une maîtresse disparue… celui de tous, celui de chacun. Les lieux des dimanches sont un village inondé de brume, un jardin d'automne, un cimetière, une cuisine d'une maison de campagne, un lit douillet en hiver…autant de lieux dans lesquels tout le monde peut trouver un écho à ses propres souvenirs… »
Et en faisant des recherches, j'apprends que cet écrivain-poète est décédé prématurément en 2010…et qu'il laisse de nombreux autres textes de qualité.
Ce recueil de poésies et de proses diffuse nostalgie, mélancolie… à travers le prisme de souvenirs les plus ténus, les plus infimes…Ce titre « Dimanches, un dimanche »…m'a infiniment touchée.
« Dans le grand poème des jours une main tenait sa main- il faudra recommencer demain et du pied pousser la pierre et dresser l'échelle dans la grange et moudre le grain cuit pour boire le café- et ne pas mourir de chagrin » (p.11)
Je me permets de transcrire un extrait du quatrième de couverture , de Véronique Chaine… qui dit si bien l'atmosphère et le ton de ces textes : « le dimanche de Joël Baudry, c'est celui d'un homme seul qui se souvient, celui d'un enfant qui accompagne son père sur une tombe, celui d'un soldat dans les tranchées, celui d'une femme qui dit son amertume, celui d'une maîtresse disparue… celui de tous, celui de chacun. Les lieux des dimanches sont un village inondé de brume, un jardin d'automne, un cimetière, une cuisine d'une maison de campagne, un lit douillet en hiver…autant de lieux dans lesquels tout le monde peut trouver un écho à ses propres souvenirs… »
