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Critique de fnitter
Délicieusement loufoque.
Un premier roman sur le thème du contact, un sujet vu et revu mais ici joyeusement revisité.
Zibidibida, extraterrestre octopode hermaphrodite de couleur verte ventousé aux cinq yeux (tant qu'à faire, autant aller jusqu'au bout du cliché, et c'est voulu...) voyage de planète en planète à bord de son vaisseau spatial modèle Scout. Mis en présence d'un remède miracle de jouvence sous la forme d'un loukoum à la rose, il décide, appuyé par le conseil de surveillance de la planète terre, de contrevenir à l'alinéa 2 de l'article 4 de non-intervention et d'aller établir l'harmonie inter-espèces sur cette planète au stade pré-spatial peuplée de barbares humains, mangeurs de viande, agressifs vindicatifs et nocifs, massacreurs à tout va et qui dévastent leur planète en toute inconscience... Et faire au passage quelques belles opérations commerciales sur le loukoum rose.
Mais c'est sans compter sur les Krapuls, l'antithèse en matière de choix de vie et ennemis jurés des Zibidis. C'est comme comparer les bisounours avec Gengis Khan, mais avec la bêtise de Rantanplan. le salut viendra-t-il des robots jardiniers envoyés sur la planète Mars pour y adapter le Tennis en faible pesanteur ?
Vous l'avez compris, ce n'est pas du sérieux. Dès la première page, à travers la présentation des principaux protagonistes, le ton est donné. du loufoque vous aurez... Dès la première phrase, dès la première vanne, on se fait une idée du style. On pense immédiatement à un mix entre H2G2: le guide du routard galactique d'Adams et Sans nouvelles de Gurb de Mendoza, ce qui, pour moi, est assez flatteur.
L'auteur ne se prend pas au sérieux et même sans message universel hautement philosophique (où alors au 3ième ou 4ième degré) nous livre un bon moment (un brin moralisateur parfois quand même) de drôlerie avec nos sympathiques ET.
Toutes les sociétés, civilisations, religions se font gentiment égratigner dans leurs travers, leurs excès et leurs réalisations, dans un récit sauvagement connoté SPA et régime végétalien.
Oh, toutes les vannes ne font pas systématiquement mouches et l'auteur se donne du mal avec parfois, plus ou moins de bonheur, mais visiblement il s'amuse beaucoup et nous avec, et c'est le principal.
Les aventures de Zibidibida, (un nom dont finalement, la loufoquerie et le caractère saugrenu conviennent très bien au style du roman) nous font passer un agréablement moment de sf humoristique sans prétention...
(Obtenu des mains de l'auteur. Merci de cette attention).
Un premier roman sur le thème du contact, un sujet vu et revu mais ici joyeusement revisité.
Zibidibida, extraterrestre octopode hermaphrodite de couleur verte ventousé aux cinq yeux (tant qu'à faire, autant aller jusqu'au bout du cliché, et c'est voulu...) voyage de planète en planète à bord de son vaisseau spatial modèle Scout. Mis en présence d'un remède miracle de jouvence sous la forme d'un loukoum à la rose, il décide, appuyé par le conseil de surveillance de la planète terre, de contrevenir à l'alinéa 2 de l'article 4 de non-intervention et d'aller établir l'harmonie inter-espèces sur cette planète au stade pré-spatial peuplée de barbares humains, mangeurs de viande, agressifs vindicatifs et nocifs, massacreurs à tout va et qui dévastent leur planète en toute inconscience... Et faire au passage quelques belles opérations commerciales sur le loukoum rose.
Mais c'est sans compter sur les Krapuls, l'antithèse en matière de choix de vie et ennemis jurés des Zibidis. C'est comme comparer les bisounours avec Gengis Khan, mais avec la bêtise de Rantanplan. le salut viendra-t-il des robots jardiniers envoyés sur la planète Mars pour y adapter le Tennis en faible pesanteur ?
Vous l'avez compris, ce n'est pas du sérieux. Dès la première page, à travers la présentation des principaux protagonistes, le ton est donné. du loufoque vous aurez... Dès la première phrase, dès la première vanne, on se fait une idée du style. On pense immédiatement à un mix entre H2G2: le guide du routard galactique d'Adams et Sans nouvelles de Gurb de Mendoza, ce qui, pour moi, est assez flatteur.
L'auteur ne se prend pas au sérieux et même sans message universel hautement philosophique (où alors au 3ième ou 4ième degré) nous livre un bon moment (un brin moralisateur parfois quand même) de drôlerie avec nos sympathiques ET.
Toutes les sociétés, civilisations, religions se font gentiment égratigner dans leurs travers, leurs excès et leurs réalisations, dans un récit sauvagement connoté SPA et régime végétalien.
Oh, toutes les vannes ne font pas systématiquement mouches et l'auteur se donne du mal avec parfois, plus ou moins de bonheur, mais visiblement il s'amuse beaucoup et nous avec, et c'est le principal.
Les aventures de Zibidibida, (un nom dont finalement, la loufoquerie et le caractère saugrenu conviennent très bien au style du roman) nous font passer un agréablement moment de sf humoristique sans prétention...
(Obtenu des mains de l'auteur. Merci de cette attention).
