La dichotomie d'Aria

C'est la liberté, c'est accepter que nous ayons des sens puissants Notre corps est une machine incroyable. C'est oser composer une mélodie avec, c'est expérimenter de nouvelles choses et s'aventurer dans l'inconnu. C'est assumer qu'on est une femme et qu'on a le droit de jouer et d'avoir du plaisir C'est ne plus culpabiliser et surtout, c'est partager avec les autres, ce dont la société occidentale est incapable. Ils sont bien trop individualistes et les gens veulent définir leur propriété. Ceci est à moi, c'est ma maison et c'est ma femme ou mon mari

Le besoin de conquête est un sentiment obsessionnel et vibratoire du moment présent. Il nous attire de manière indéfectible. Si ce terme est concrétisé avec émotion, à l’instant où nous le mettons au pluriel, il permet d’accéder à une certaine forme d’ouverture d’esprit et de liberté. Dans cer- tains cas, on s’éloigne des pensées individualistes et malsaines et nous ap- prouvons davantage l’humain et le sexe dans sa globalité. Le milieu du libertinage, ce n’est pas de la pornographie, c’est un monde fait de volupté, de respect, de partage et d’érotisme souvent pratiqué comme un art.
En amour, la méthode unique peut devenir insidieuse et des circons- tances opportunes peuvent parfois se dessiner. Pourtant, aux yeux du monde, certaines de ces solutions paraîtront marginales ou anticonformistes. Pour quelles raisons devrions-nous choisir de suivre notre quête selon des normes ancestrales, sociétale ou religieuse, si celles-ci ne nous conviennent pas en tous points ?