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Critique de Thyuig


Le monde n'est plus. Ses chefs, ses organistaions, ses systèmes financiers, militaires, logistiques et d'infrastructures, tout cela a explosé avec le chromozone, ce virus tentaculaire qui a réduit à zéro la moindre parcelle electronique du monde connu. Plus rien n'est plus, et tout est donc comme avant, mais avec ce soupçon d'ultra-communautarisme qui fait se replier les gens sur leurs semblables. Ce monde est ultra-violent, ségmenté par les communautés, les rapports de force changeant au gré des alliances avec de nouvelles multinationales : GaIa, Zentech... Une technologie du sensible est née des cendres de l'electronique en remplaçant un mal par un autre. Qui détient telle technologie est plus fort que l'autre et lui fait mordre la poussière inéluctablement.
Voilà Stéphane Beauverger qui imagine ce monde impossible à la lueur de trois pesonnages clef : Teitomo, Justune et Gemini. Trois éclairage dans un ciel obsurément plombé par la violence des rapports sociaux. le roman est dense, alletant, livrant une barbarie démeusurée à ces personnages tout aussi implacables. Ce futur est à honnir !
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