A coup sûr la meilleure lecture de février.
C'est un tort de ne pas lire les livres dont on a vu et revu l'adaptation cinématographique. Comme si les images du film de Melville de 1961 allait rendre les pages insipides (il ya eu d'autres adaptations par la suite).
Et bien non ce livre est
une merveille et
Béatrix Beck rentre immédiatement dans mes coups de coeurs.
Auc
un ennui dans le parcours de
Barny vers la religion chrétienne, C'est à la fois profond et léger.
C'est la guerre dans cette petite ville où se réfugient les personnes les plus diverses: résistants, pétainistes, collabos, juifs.
C'est un peu par jeu, par défi que
Barny va dire au je
une prêtre son scepticisme.
C'est par
une foi joyeuse que Léon Morin va "convertir"
Barny (mais ce mot est mal choisi tant il n'y a auc
une pression, auc
une exigence de sa part).
C'est tout doucement que
Barny va éprouver
une attirance amoureuse et physique pour Morin.
On n'a guère envie de laisser ces personnages en refermant le livre.
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