Les paroles de l'Évangile sont miraculeuses. Elles ne nous transforment pas parce que nous ne leur demandons pas de nous transformer. Dans chaque phrase de Jésus demeure la vertu foudroyante qui guérissait, purifiait, ressuscitait. À la condition d'être, vis-à-vis de lui, comme le paralytique ou le centurion ; d'agir immédiatement en pleine obéissance (page 83 - extrait de "La joie de croire").