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Critique de fredloron
J'avais besoin de légèreté après ma dernière lecture. Ce roman est arrivé à point.
On y suit la famille Dahan.
Max, séducteur, adepte de poker, de whisky et de pistaches.
Simon, son petit-fils, qui suit des études de médecine.
Doria, fille de Max, tante de Simon, s'installe chez lui après une rupture amoureuse. Elle entretient ses rêves d'actrice en jouant dans des publicités.
Elle a une imagination débordante, des théories qui paraissent tordues.
D'autres protagonistes rentrent en scène.
On passe d'un personnage à un autre.
Des individualités très plaisantes à suivre, qui viennent d'horizons, de milieux différents. Ils sont tous touchants à leur manière.
La réception d'un courrier va chambouler cette famille et les occupants de leur immeuble.
Une cause commune qui va les lier, et créer une chaîne de solidarité.
Je me suis laissé embarquer.
Il y a de très belles anecdotes historiques sur le quartier, où elle nous balade avec humour, et douceur.
Des lieux qui me sont familiers. J'ai travaillé huit ans vers l'Olympia, et ses belles lettres rouges.
Quel plaisir de se remémorer ces lieux. le Café de la paix, le Grand Rex, le musée Grévin, L'Opéra, Les Galeries Lafayette, le Palace, la Madeleine, les supers macarons de chez Ladurée, pas très loin.
L'auteure m'a séduit par sa plume très touchante. Il y a de belles références. J'ai particulièrement apprécié celles, brèves, sur la Turquie, dont elle est originaire.
Des thèmes, où nous pouvons nous identifier, se sont dégagés durant ma lecture : les liens familiaux, la quête identitaire, la remise en question, la désillusion, l'abnégation, l'élan de solidarité, croire en ses rêves, la bienveillance.
Une lecture ressourçante !!!
Je vais lire la suite des grands boulevards, me rebalader dans ce quartier, avec beaucoup d'enthousiasme !
On y suit la famille Dahan.
Max, séducteur, adepte de poker, de whisky et de pistaches.
Simon, son petit-fils, qui suit des études de médecine.
Doria, fille de Max, tante de Simon, s'installe chez lui après une rupture amoureuse. Elle entretient ses rêves d'actrice en jouant dans des publicités.
Elle a une imagination débordante, des théories qui paraissent tordues.
D'autres protagonistes rentrent en scène.
On passe d'un personnage à un autre.
Des individualités très plaisantes à suivre, qui viennent d'horizons, de milieux différents. Ils sont tous touchants à leur manière.
La réception d'un courrier va chambouler cette famille et les occupants de leur immeuble.
Une cause commune qui va les lier, et créer une chaîne de solidarité.
Je me suis laissé embarquer.
Il y a de très belles anecdotes historiques sur le quartier, où elle nous balade avec humour, et douceur.
Des lieux qui me sont familiers. J'ai travaillé huit ans vers l'Olympia, et ses belles lettres rouges.
Quel plaisir de se remémorer ces lieux. le Café de la paix, le Grand Rex, le musée Grévin, L'Opéra, Les Galeries Lafayette, le Palace, la Madeleine, les supers macarons de chez Ladurée, pas très loin.
L'auteure m'a séduit par sa plume très touchante. Il y a de belles références. J'ai particulièrement apprécié celles, brèves, sur la Turquie, dont elle est originaire.
Des thèmes, où nous pouvons nous identifier, se sont dégagés durant ma lecture : les liens familiaux, la quête identitaire, la remise en question, la désillusion, l'abnégation, l'élan de solidarité, croire en ses rêves, la bienveillance.
Une lecture ressourçante !!!
Je vais lire la suite des grands boulevards, me rebalader dans ce quartier, avec beaucoup d'enthousiasme !
