Une écriture sensible, poétique, toute entière tournée vers la "promotion" de la tolérance.
En trame de fond, la vie des peuplades nomades algériennes, de 1847 à 1894, peuples pacifiques, vivant sur et de terres hostiles.
Les Fils du Jour, guidé par un patriarche Cheikh
Moussa sont tous des humains aux valeurs solides qui poussent la tolérance à partager leur foi et leur vie avec des chrétiens : El Hadj, le fils du chef de la tribu, épouse Agathe qui devient H'jira . Tout aurait pu continuer ainsi si les troupes civilisatrices(!!) françaises n'avaient dévasté pays et populations.
L'auteur reste pudique dans la description des exactions, il préfère axer son écriture sur la poésie et l'amour, ce qui en fait un écrit quasi lumineux. le roman s'achève avec la naissance de Nehari ( fils de la lumière), de la quatrième génération.
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