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Critique de sultanne
Tu cesses immédiatement ce regard coquin, lecteur, et t'effaces, par la même occasion, ce sourire narquois, hein, la première chose que tu dois accepter, c'est qu'avant d'être sexy, il faut être une patate. A bas les préjugés et les clichés éculés : on les laisse au vestiaire avec nos idées reçues.
Ton âge, ta morphologie, ton poids et ta taille n'ont que peu d'importance : pas de ça chez nous, lecteur, Bienveillance est la mère des pôleuses. Si les histoires de pied flex et de montée de genoux te sont totalement étrangères, et si le Génie n'est pour toi qu'un gentil Disney, il est grand temps pour toi de grimper sur une barre, histoire de constater que la pute qui sommeille en toi ne s'épanouira pas dans un cours de pôle, loin de là.
Car c'est d'abord d'appréhension de ton corps dont il sera question : la peur du vide, la proprioception, la souplesse, la précision, l'équilibre, la force sont les leitmotiv de ta pratique, à l'image de ce que vit Laetitia, l'attachante héroïne de ce petit graphique coloré, dans laquelle je me suis retrouvée cents fois. En suivant son évolution, tu comprendras que, plus qu'un sport, la pôle est une véritable thérapie qui va au-delà du regard salace que l'on pose dessus. le livre s'enrichit de carnets, de croquis et d'explications techniques simples et justes, oscille entre scènes cocasses et confidences intimistes, et c'est tout l'univers bienveillant d'une véritable famille qui s'étale sur ces pages.
Je ne remercierai jamais assez mes instructrices, Anne-Sophie et Hannah, deux femmes exceptionnelles, d'avoir un jour croisé le chemin de la femme fantomatique que j'étais. Sans le savoir, elles m'ont appris que mon corps ne peut être qu'un allié tout au long de ma vie, que le regard de l'autre est forcément subjectif et que la patate qui est en moi peut être belle et gracieuse, parfois (enfin parfois, hein ;-)
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Et pour d'autres acrobaties littéraires, rendez-vous aussi sur Instagram :
Lien : http://www.instagram.com/les..
Ton âge, ta morphologie, ton poids et ta taille n'ont que peu d'importance : pas de ça chez nous, lecteur, Bienveillance est la mère des pôleuses. Si les histoires de pied flex et de montée de genoux te sont totalement étrangères, et si le Génie n'est pour toi qu'un gentil Disney, il est grand temps pour toi de grimper sur une barre, histoire de constater que la pute qui sommeille en toi ne s'épanouira pas dans un cours de pôle, loin de là.
Car c'est d'abord d'appréhension de ton corps dont il sera question : la peur du vide, la proprioception, la souplesse, la précision, l'équilibre, la force sont les leitmotiv de ta pratique, à l'image de ce que vit Laetitia, l'attachante héroïne de ce petit graphique coloré, dans laquelle je me suis retrouvée cents fois. En suivant son évolution, tu comprendras que, plus qu'un sport, la pôle est une véritable thérapie qui va au-delà du regard salace que l'on pose dessus. le livre s'enrichit de carnets, de croquis et d'explications techniques simples et justes, oscille entre scènes cocasses et confidences intimistes, et c'est tout l'univers bienveillant d'une véritable famille qui s'étale sur ces pages.
Je ne remercierai jamais assez mes instructrices, Anne-Sophie et Hannah, deux femmes exceptionnelles, d'avoir un jour croisé le chemin de la femme fantomatique que j'étais. Sans le savoir, elles m'ont appris que mon corps ne peut être qu'un allié tout au long de ma vie, que le regard de l'autre est forcément subjectif et que la patate qui est en moi peut être belle et gracieuse, parfois (enfin parfois, hein ;-)
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