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Critique de Radiophogeek
Pas de résumé, pas l'envie.
Ce livre, fortement recommandé par l'autrice de la Princesse au Petit Pois dans la même collection, vantant même sa bonne relation entre les deux écrivains... a plusieurs fois dépassé l'intolérable selon moi.
Peter Pan m'avait choqué par l'omniprésence de la maltraitance infantile et, disons-le, de la pédophilie latente. Mais ce Baba Yaga, inspiré du conte de Vassilissa la Belle, a franchi les limites de l'indécence et du dégoût, me donnant à deux reprises une nausée bien désagréable.
Dommage, parce qu'à côté la relation sexuelle libérée entre les deux personnages principaux est assez séduisante et pour une fois sans être teintée de sado-masochisme. Quoique...
Vous l'aurez compris, impression clairement mitigée voir négative à la sortie de cette lecture, besoin de se laver les yeux et l'esprit avec autre chose, qui ne me rendra pas avec un plaisir évident les personnages Queer éminemment détestables, et ne me plongera pas dans les tréfonds de la déviance humaine la plus noire.
Comme Yana Babakova et les Sorciers : "Je passe."
Ce livre, fortement recommandé par l'autrice de la Princesse au Petit Pois dans la même collection, vantant même sa bonne relation entre les deux écrivains... a plusieurs fois dépassé l'intolérable selon moi.
Peter Pan m'avait choqué par l'omniprésence de la maltraitance infantile et, disons-le, de la pédophilie latente. Mais ce Baba Yaga, inspiré du conte de Vassilissa la Belle, a franchi les limites de l'indécence et du dégoût, me donnant à deux reprises une nausée bien désagréable.
Dommage, parce qu'à côté la relation sexuelle libérée entre les deux personnages principaux est assez séduisante et pour une fois sans être teintée de sado-masochisme. Quoique...
Vous l'aurez compris, impression clairement mitigée voir négative à la sortie de cette lecture, besoin de se laver les yeux et l'esprit avec autre chose, qui ne me rendra pas avec un plaisir évident les personnages Queer éminemment détestables, et ne me plongera pas dans les tréfonds de la déviance humaine la plus noire.
Comme Yana Babakova et les Sorciers : "Je passe."
