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Critique de sylvaine
Elie Bernheim signe avec Table pour trois à New York son premier roman .
Tout d'abord je tiens à remercier Delphine des éditions Slatkine pour m'avoir permis de découvrir ce roman dès que cela a été possible.
Un couple aimant Gabriel et Norah quittent Paris pour s'installer à New York avec leurs deux enfants. Lui est un chef renommé elle une trompettiste talentueuse. Gabriel s'apprête à ouvrir un restaurant gastronomique, Norah à courir le monde pour donner des concerts. La vie les happe , arriveront ils à trouver le temps et le courage de se parler?
Une histoire qui nous est racontée à travers les journaux intimes des différents protagonistes. Ce sont donc quatre journaux intimes que nous découvrons , quatre regards différents et/ou complémentaires d'un même évènement. La narration journal intime suppose quelques lignes jetées plus ou moins à la va vite, le style relève ainsi plus du fait divers que de la littérature sans compter pour le lecteur l'inconfort d'une narration hachée et redondante. Une narration plus classique aurait , me semble t'il, donné plus de corps au récit, plus d'âme aux personnages et permis au lecteur de développer de l'empathie pour eux ce qui ne m'a pas été possible.
Une lecture en demi-teinte donc pour moi.
Tout d'abord je tiens à remercier Delphine des éditions Slatkine pour m'avoir permis de découvrir ce roman dès que cela a été possible.
Un couple aimant Gabriel et Norah quittent Paris pour s'installer à New York avec leurs deux enfants. Lui est un chef renommé elle une trompettiste talentueuse. Gabriel s'apprête à ouvrir un restaurant gastronomique, Norah à courir le monde pour donner des concerts. La vie les happe , arriveront ils à trouver le temps et le courage de se parler?
Une histoire qui nous est racontée à travers les journaux intimes des différents protagonistes. Ce sont donc quatre journaux intimes que nous découvrons , quatre regards différents et/ou complémentaires d'un même évènement. La narration journal intime suppose quelques lignes jetées plus ou moins à la va vite, le style relève ainsi plus du fait divers que de la littérature sans compter pour le lecteur l'inconfort d'une narration hachée et redondante. Une narration plus classique aurait , me semble t'il, donné plus de corps au récit, plus d'âme aux personnages et permis au lecteur de développer de l'empathie pour eux ce qui ne m'a pas été possible.
Une lecture en demi-teinte donc pour moi.
