le lien fraternel se poursuit dans la vie de l’humain, de l’enfance à l’âge adulte, jusque dans la vieillesse puisque que l’infantile est son moteur ; d’autre part, il rappelle si le traumatisme des parents affecte chaque membre de la fratrie, chacun vit la pathologie d’un frère d’une manière tout à fait singulière et évolutive.
(P.222) Pour les parents, le silence des frères et sœurs, voire leur mutisme apparent, est plus souvent perçu comme absence de problème que comme signe de souffrance, tant ils sont eux-mêmes pris dans les émotions engendrées par le handicap.