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Critique de Andromeda06
Vous vous rappelez de Cornebidouille ? Mais si voyons, vous savez l'affreuse sorcière qui se pointe en pleine nuit pour faire peur aux enfants qui n'ont pas voulu manger leur soupe ? Ah ça y est, je sens que ça vous revient...
Et maintenant, vous rappelez-vous de ce qu'il lui est arrivé dans le tome précédent ? Si je vous dis : Pierre, petit garçon aussi têtu et effronté qu'il est malin ? Si je vous dis : une sorcière aveuglée par la colère, victime d'un piège que Pierre lui a tendu, et qui a fini engloutie par la chasse d'eau ? Et oui, c'est bien ça, c'est dans cette situation que nous l'avions laissée dans le tome précédent.
Mais heureusement, Pierre Bertrand (au scénario) et Magali Bonniol (pour les illustrations) ont eu la super bonne idée d'écrire la suite de cette histoire. Cornebidouille, toujours rapetissée, s'est donc installée dans la tuyauterie et prépare sa vengeance qui sera terrible ! La voilà donc prête à passer à l'assaut : elle profite que Pierre ait envie de faire pipi au milieu de la nuit pour attaquer. Elle le cloue à table, lui immobilise les bras, et lui prépare sa spécialité : sa soupe délicieusement dégoûtante qui potironne (*). Ni une, ni deux, et vas-y qu'elle ajoute dans sa marmite les ingrédients les plus appétissants qui soient : du hachis de ver de terre, des poils de dromadaire, du moisi de camembert, sans oublier les langues de gargouille, du crachat de grenouille et un zeste de fripouille, et quelques autres ingrédients aussi que je tairai (je ne voudrais pas révéler son secret). La soupe enfin prête, Cornebidouille pince le nez de Pierre pour lui faire ouvrir la bouche, approche la cuillère... mais voilà-t-il pas que Pierre... [Je ne vais tout de même pas tout vous raconter non plus...].
Sachez juste que celui qui est potironné (*) n'est peut-être pas celui qu'on croit...
Comme tous les albums qui mettent en scène Cornebidouille, "La vengeance de Cornebidouille", qui fait directement suite à "Cornebidouille" (le premier de la série), est juste extraordinaire. le scénario est divinement repoussant. Les insultes et les provocations fusent. le petit Pierre est adorablement effronté et insolent alors que Cornebidouille, pas maligne pour un sou et tellement enragée et focalisée sur sa vengeance, est quant à elle ridiculement affreuse et drôle.
On rit, on rit, on rit !
Tous les livres de cette série (sauf le dernier, le sixième, qui est prévu à l'achat pour bientôt et qu'on n'a pas encore eu la chance de découvrir) font partie de ceux qu'on lit, relit, re-relit (et re-re-relit, etc). le fiston ne s'en lasse pas, moi non plus d'ailleurs ! Au point que j'ai fini par les lui acheter, histoire que d'autres enfants puissent aussi les emprunter à la bibliothèque (bien plus souvent en tout cas !).
(*) potironner = transformer en potiron.
Et maintenant, vous rappelez-vous de ce qu'il lui est arrivé dans le tome précédent ? Si je vous dis : Pierre, petit garçon aussi têtu et effronté qu'il est malin ? Si je vous dis : une sorcière aveuglée par la colère, victime d'un piège que Pierre lui a tendu, et qui a fini engloutie par la chasse d'eau ? Et oui, c'est bien ça, c'est dans cette situation que nous l'avions laissée dans le tome précédent.
Mais heureusement, Pierre Bertrand (au scénario) et Magali Bonniol (pour les illustrations) ont eu la super bonne idée d'écrire la suite de cette histoire. Cornebidouille, toujours rapetissée, s'est donc installée dans la tuyauterie et prépare sa vengeance qui sera terrible ! La voilà donc prête à passer à l'assaut : elle profite que Pierre ait envie de faire pipi au milieu de la nuit pour attaquer. Elle le cloue à table, lui immobilise les bras, et lui prépare sa spécialité : sa soupe délicieusement dégoûtante qui potironne (*). Ni une, ni deux, et vas-y qu'elle ajoute dans sa marmite les ingrédients les plus appétissants qui soient : du hachis de ver de terre, des poils de dromadaire, du moisi de camembert, sans oublier les langues de gargouille, du crachat de grenouille et un zeste de fripouille, et quelques autres ingrédients aussi que je tairai (je ne voudrais pas révéler son secret). La soupe enfin prête, Cornebidouille pince le nez de Pierre pour lui faire ouvrir la bouche, approche la cuillère... mais voilà-t-il pas que Pierre... [Je ne vais tout de même pas tout vous raconter non plus...].
Sachez juste que celui qui est potironné (*) n'est peut-être pas celui qu'on croit...
Comme tous les albums qui mettent en scène Cornebidouille, "La vengeance de Cornebidouille", qui fait directement suite à "Cornebidouille" (le premier de la série), est juste extraordinaire. le scénario est divinement repoussant. Les insultes et les provocations fusent. le petit Pierre est adorablement effronté et insolent alors que Cornebidouille, pas maligne pour un sou et tellement enragée et focalisée sur sa vengeance, est quant à elle ridiculement affreuse et drôle.
On rit, on rit, on rit !
Tous les livres de cette série (sauf le dernier, le sixième, qui est prévu à l'achat pour bientôt et qu'on n'a pas encore eu la chance de découvrir) font partie de ceux qu'on lit, relit, re-relit (et re-re-relit, etc). le fiston ne s'en lasse pas, moi non plus d'ailleurs ! Au point que j'ai fini par les lui acheter, histoire que d'autres enfants puissent aussi les emprunter à la bibliothèque (bien plus souvent en tout cas !).
(*) potironner = transformer en potiron.
