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Critique de bdelhausse
Côté pile, nous sommes en 2010, et quelques gags abordent le réchauffement climatique et la pollution des océans. C'est déjà pas si mal.
Côté face, le malheur a voulu que j'enchaîne deux tomes de Nelson à la suite (le 9 et le 7)... et on a des gags assez semblables. Comme celui de la langue gelée collée à un poteau ou à une truffe. Quelques gags saisonniers autour du Père Noël aussi.
Ce qui est dommage dans les gags de Nelson, c'est qu'ils n'ont aucune suite. Dans Dilbert, les Peanuts, ou d'autres comic strips de très bonne qualité, même si ce sont des gags en 3 cases, on a parfois des gags qui constituent des suites de gags précédents. Chez Nelson, rien de tout cela. Sa maîtresse revient de la coiffeuse, un gag, et on ne revient pas dessus, alors que cela aurait été possible. Pas de running gag, et on est donc dans l'instantané, ce qui en dit long sur le type d'humour et l'optique poursuivie (d'où le fait que l'auteur se répète parfois d'un tome à l'autre, d'ailleurs).
Côté face, le malheur a voulu que j'enchaîne deux tomes de Nelson à la suite (le 9 et le 7)... et on a des gags assez semblables. Comme celui de la langue gelée collée à un poteau ou à une truffe. Quelques gags saisonniers autour du Père Noël aussi.
Ce qui est dommage dans les gags de Nelson, c'est qu'ils n'ont aucune suite. Dans Dilbert, les Peanuts, ou d'autres comic strips de très bonne qualité, même si ce sont des gags en 3 cases, on a parfois des gags qui constituent des suites de gags précédents. Chez Nelson, rien de tout cela. Sa maîtresse revient de la coiffeuse, un gag, et on ne revient pas dessus, alors que cela aurait été possible. Pas de running gag, et on est donc dans l'instantané, ce qui en dit long sur le type d'humour et l'optique poursuivie (d'où le fait que l'auteur se répète parfois d'un tome à l'autre, d'ailleurs).
