Depuis la fin du premier volume, la Terre est dépeuplée, ravagée par la guerre, et les rares survivants sont plus ou moins revenus à un état primitif. Je vous passe les quelques lignes d'une trame anecdotique, les portraits des personnages stéréotypés et j'en viens au principal : quelques heureux élus partent fonder une nouvelle société utopiste sur Vénus. L'auteur s'interroge alors vraisemblablement sur le discours à tenir et sur le filon à creuser. Dans le doute, il en tente deux : d'une part il tire le fil resucé de l'éternel recommencement alors que les rêveurs se retrouvent à reproduire les erreurs du passé et conduisent leur société dans le même mur que leurs aïeux, d'autre part il théorise maladroitement sur les politiques d'eugénisme. Ce dernier point est particulièrement douteux. Logiquement
F. Richard-Bessière échoue sur les deux fronts.
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