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Critique de Darjeelingdo
Retour, pour un 3 e épisode, de l'inspectrice Sarah Geringën. le livre mêle une nouvelle fois enquête policière, faits historiques et références scientifiques.
La première partie, qui voit l'enquêtrice se pencher sur le passé de son père, nous amène à un épisode historique que je ne connaissais pas : la déportation massive , en 1933, sur la petite île de Nazino en Sibérie, de 6000 prisonniers dont 4000 trouveront la mort.
Jusque là , malgré certains « raccourcis » un peu suspects de l'enquête, l'histoire fonctionne bien et on se laisse prendre au jeu.
Apres, par contre, j'ai trouvé que ça devenait un peu n'importe quoi et qu'on tombait inutilement dans le spectaculaire. Même si les théories sur la transmission génétique des traumatismes, ce qu'on appelle l'épigénétique, sont intéressantes, j'ai moins adhéré et pas trop apprécié la toute fin non plus..
Avis en demi-teinte donc pour moi.
La première partie, qui voit l'enquêtrice se pencher sur le passé de son père, nous amène à un épisode historique que je ne connaissais pas : la déportation massive , en 1933, sur la petite île de Nazino en Sibérie, de 6000 prisonniers dont 4000 trouveront la mort.
Jusque là , malgré certains « raccourcis » un peu suspects de l'enquête, l'histoire fonctionne bien et on se laisse prendre au jeu.
Apres, par contre, j'ai trouvé que ça devenait un peu n'importe quoi et qu'on tombait inutilement dans le spectaculaire. Même si les théories sur la transmission génétique des traumatismes, ce qu'on appelle l'épigénétique, sont intéressantes, j'ai moins adhéré et pas trop apprécié la toute fin non plus..
Avis en demi-teinte donc pour moi.
