Il s'agit d'un regroupement de nouvelles de science-fiction sur le thème passionnant du temps et, en principe, plus précisément, du « temps mort ». ● Je ne sais pas quoi dire tellement c'est médiocre, sauf peut-être « Aiôn » de
Florent Rigout (à part la fin) et «
le Temps transparent » de
Constantin Louvain. Rien ne tient debout. ● Dans « science-fiction », il y a « science », or ici c'est un gloubi boulga grotesque, un fatras indigeste et indigent de non-connaissances scientifiques mal digérées. On est vraiment à des années-lumière de la hard SF comme la pratique par exemple
Liu Cixin qui, lui, prend le temps d'assimiler le savoir scientifique et de fonder son récit dessus. ● Et les nouvelles ne sont pas rattrapées par leur qualité littéraire : leur construction n'emporte pas le lecteur, les chutes sont totalement atones voire incompréhensibles, le style est plat.
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