Sommes-nous voués à cette oscillation désespérante entre l’illusion orgueilleuse de l’anthropocentrisme et la dépression acédique de l’écocentrisme ? La première adore l’homme jusqu’à la haine de la nature et la seconde adore la nature jusqu’à la haine de l’homme. La troisième scénario est-il envisageable qui s’inspire du passé, accueille les ombres, mais aussi les lumières du présent et nous offre un avenir ?