Cahier n°2 est fait un peu dans la même veine que le premier, sauf que l’aspect narratif est plus présent. Même si j’ai gardé la notion de dessin automatique du premier tome, je me suis rendu compte a posteriori que des éléments se recoupent et permettent de tisser un fil rouge. On est plus proche d’un story-board de BD que d’illustrations indépendantes, on retrouve malgré tout quelques petits clins d’œil au premier tome.