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Critique de EsseG71
Kaspar est heureux : c'est le jour de remise du diplôme de Gardien dont il avait tant rêvé. Dans cette société du futur, les Gardiens sont les garants de la paix de l'Alliance ; chargé de traquer les Insurgés, ils peuvent les arrêter mais surtout pas les tuer, puisque cette nouvelle société s'est jurée de ne plus commettre de meurtres pour faire régner la paix.
Cette journée est pourtant gâchée par une attaque des Insurgés à la fin de la cérémonie. Elle ne fait pas trop de dégâts et Kaspar a l'occasion de mettre ses compétences en valeur. Cet acte de bravoure va pourtant changer toute sa vie, et remettre en cause ce en quoi il croit depuis qu'il est très jeune. Et si les Hauts-Conseillers, gouvernement de l'Alliance, n'avaient fait que mentir pour protéger leur secret, et leurs avantages.
Peu fan de littérature fantastique, j'ai toutefois très vite accroché à ce roman. Il érige la recherche documentaire en art (pour une prof doc comme moi, c'est pas rien !), et permet en plus une réflexion sur l'ordre établi et l'objectivité des informations.
Cette journée est pourtant gâchée par une attaque des Insurgés à la fin de la cérémonie. Elle ne fait pas trop de dégâts et Kaspar a l'occasion de mettre ses compétences en valeur. Cet acte de bravoure va pourtant changer toute sa vie, et remettre en cause ce en quoi il croit depuis qu'il est très jeune. Et si les Hauts-Conseillers, gouvernement de l'Alliance, n'avaient fait que mentir pour protéger leur secret, et leurs avantages.
Peu fan de littérature fantastique, j'ai toutefois très vite accroché à ce roman. Il érige la recherche documentaire en art (pour une prof doc comme moi, c'est pas rien !), et permet en plus une réflexion sur l'ordre établi et l'objectivité des informations.
