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Critique de AnaisLouve
Une nouvelle saga fantastique Par Cléo BlackWood ?
Ecrite à 4 mains avec son compagnon ?
Moi je dis oui et je fonce ! En plus, j'ai eu la chance de faire partie de l'équipe de relectrice de cet ouvrage et de pouvoir le découvrir en avant-première.
Les récits à 4 mains (ou plus !) j'adore ça, je trouve que cela donne un petit quelque chose en plus au texte. C'est souvent surprenant, plein de mordant et l'ensemble parait différent tout en étant similaire aux oeuvres écrites en solo par les auteurs. Celui-ci ne fait pas exception à la règle.
Je retrouve la plume si délicate et pourtant incisive de Cléo et je n'ai jamais su discerner les passages écrits par Rahal. le mélange est donc parfaitement intégré et fluide.
Parlons maintenant de cette nouvelle série, mélange d'enquête policière et de mystères mystiques.
On y découvre Rozenn, une jeune femme forgée dans l'acier par son passé complexe et douloureux, qui prend en charge sa première enquête en tant qu'inspectrice pour la criminelle de Détroit. Elle est accompagnée de son chien Appolo, qui remplit le rôle d'agent canin et d'assistant pour personne handicapée.
Rozenn est très fermée, très secrète, elle cache et camoufle tous ses sentiments derrière une façade placide et panse ses plaies uniquement dans l'intimité de sa maison. Elle peut paraitre froide et distante de prime abord, alors qu'elle possède un coeur d'or et beaucoup de compassion.
Intransigeante, elle suit les préceptes enseignés dans l'armée qu'elle a dû quitter suite à une blessure grave.
La découvrir et la comprendre au fil des pages est un véritable bonheur. C'est même assez addictif !
Les détails, les tenants et aboutissant de sa personnalité sont cachés un peu partout dans le texte et on va partir à la chasse en parcourant les chapitres. C'est très intriguant et par conséquent on reste très vite happé dans le récit.
La première personne du singulier permet d'ailleurs une immersion rapide dans l'histoire. On découvre les éléments de l'enquête à travers les yeux de Rozenn et on cherche à décortiquer les évènements à ses côtés.
Mais Rozenn n'est pas uniquement accompagnée de son fidèle partenaire à quatre pattes.
Au détour de la scène de crime, elle croise le regard de Cern et tout bascule pour elle.
Pourquoi ? Comment ?
C'est justement toute la grande question !
Cern, ou Cernunnos, est le deuxième protagoniste principal / point de vue de ce roman.
J'adore d'ailleurs les chapitres écrits à travers ses yeux. Ils sont mordants et piquants de cynisme. Absolument délicieux ! Si je n'avais qu'un seul reproche, cela serait qu'il n'y en a pas assez à mon gout. Mais c'est vraiment parce que je suis accro à ce grand ténébreux à l'aura prédatrice.
Cern est … un Dieu ! Hé oui, un Dieu incarné en humain. Mais pas n'importe quel Dieu et pas n'importe qui par rapport à Rozenn.
Mais pour savoir ce qui les lie, il vous faudra lire le livre.
Le rythme est parfaitement dosé entre action, enquête et flash black. Les révélations et les rebondissements parsèment la lecture, nous laissant régulièrement sans voix et abasourdis. C'est très prenant et ça tient en haleine sans s'essouffler jusqu'à la dernière page.
Et le gros bonus ? La fin permet d'avoir des éléments de réponse à l'enquête en cours, tout en promettant encore plus d'embrouilles et de secrets pour la suite de leurs aventures.
J'ai eu du mal à les quitter et je suis plus qu'impatiente de les retrouver !
Un premier tome très accrocheur et prometteur. A découvrir de toute urgence.
Ecrite à 4 mains avec son compagnon ?
Moi je dis oui et je fonce ! En plus, j'ai eu la chance de faire partie de l'équipe de relectrice de cet ouvrage et de pouvoir le découvrir en avant-première.
Les récits à 4 mains (ou plus !) j'adore ça, je trouve que cela donne un petit quelque chose en plus au texte. C'est souvent surprenant, plein de mordant et l'ensemble parait différent tout en étant similaire aux oeuvres écrites en solo par les auteurs. Celui-ci ne fait pas exception à la règle.
Je retrouve la plume si délicate et pourtant incisive de Cléo et je n'ai jamais su discerner les passages écrits par Rahal. le mélange est donc parfaitement intégré et fluide.
Parlons maintenant de cette nouvelle série, mélange d'enquête policière et de mystères mystiques.
On y découvre Rozenn, une jeune femme forgée dans l'acier par son passé complexe et douloureux, qui prend en charge sa première enquête en tant qu'inspectrice pour la criminelle de Détroit. Elle est accompagnée de son chien Appolo, qui remplit le rôle d'agent canin et d'assistant pour personne handicapée.
Rozenn est très fermée, très secrète, elle cache et camoufle tous ses sentiments derrière une façade placide et panse ses plaies uniquement dans l'intimité de sa maison. Elle peut paraitre froide et distante de prime abord, alors qu'elle possède un coeur d'or et beaucoup de compassion.
Intransigeante, elle suit les préceptes enseignés dans l'armée qu'elle a dû quitter suite à une blessure grave.
La découvrir et la comprendre au fil des pages est un véritable bonheur. C'est même assez addictif !
Les détails, les tenants et aboutissant de sa personnalité sont cachés un peu partout dans le texte et on va partir à la chasse en parcourant les chapitres. C'est très intriguant et par conséquent on reste très vite happé dans le récit.
La première personne du singulier permet d'ailleurs une immersion rapide dans l'histoire. On découvre les éléments de l'enquête à travers les yeux de Rozenn et on cherche à décortiquer les évènements à ses côtés.
Mais Rozenn n'est pas uniquement accompagnée de son fidèle partenaire à quatre pattes.
Au détour de la scène de crime, elle croise le regard de Cern et tout bascule pour elle.
Pourquoi ? Comment ?
C'est justement toute la grande question !
Cern, ou Cernunnos, est le deuxième protagoniste principal / point de vue de ce roman.
J'adore d'ailleurs les chapitres écrits à travers ses yeux. Ils sont mordants et piquants de cynisme. Absolument délicieux ! Si je n'avais qu'un seul reproche, cela serait qu'il n'y en a pas assez à mon gout. Mais c'est vraiment parce que je suis accro à ce grand ténébreux à l'aura prédatrice.
Cern est … un Dieu ! Hé oui, un Dieu incarné en humain. Mais pas n'importe quel Dieu et pas n'importe qui par rapport à Rozenn.
Mais pour savoir ce qui les lie, il vous faudra lire le livre.
Le rythme est parfaitement dosé entre action, enquête et flash black. Les révélations et les rebondissements parsèment la lecture, nous laissant régulièrement sans voix et abasourdis. C'est très prenant et ça tient en haleine sans s'essouffler jusqu'à la dernière page.
Et le gros bonus ? La fin permet d'avoir des éléments de réponse à l'enquête en cours, tout en promettant encore plus d'embrouilles et de secrets pour la suite de leurs aventures.
J'ai eu du mal à les quitter et je suis plus qu'impatiente de les retrouver !
Un premier tome très accrocheur et prometteur. A découvrir de toute urgence.
