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Critique de tchouk-tchouk-nougat


L'empereur Caracalla est assassiné pendant la campagne militaire contre les Parthes et c'est Macrin, son préfet, qui prend sa suite. Seulement Julia Maesa, la tante de Caracalla, n'a pas dit son dernier mot. Bien qu'exilée à Emèse, dans sa Syrie natale, elle va tout faire pour regagner le pouvoir que Macrin peine à conserver.

Visiblement il s'agit là d'un bon sujet pour la série des Reines de Sang car Julia Maesa ne recule devant rien pour le pouvoir. Cette histoire contient son lot de batailles, de meurtres, de coucheries et de trahisons.
A vrai dire je ne connaissais quasiment pas cette période de l'empire romain. J'ai donc fait quelques recherches complémentaires pour bien comprendre le contexte qui est assez succinctement expliqué au début de la bande dessinée. Ca m'a permis d'ailleurs de relever des bizarreries historiques. Par exemple tout au long de l'histoire, on martèle que Macrin s'occupait des fauves du cirque. Je trouvais ça étrange tout de même, quelle ascension sociale... Et en me plongeant un peu dans sa biographie il n'a jamais travaillé dans un cirque à priori, il était de la gens équestre, à fait des études d'avocat qui lui ont permis de s'enrichir et de monter les marches du pouvoir. Pourquoi travestir ce détail historique?
Ceci étant c'est un tome intéressant sur une période sombre de l'histoire romaine et je découvrirais la suite avec plaisir.
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