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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Pour les princesses Syriennes c'est la réussite. Julia a réussi à imposer son petite fils comme empereur. Macrin destitué et exécuté, les voilà qui font toute vers Rome.
Heliogabale laisse le soin à sa grand-mère de gouverner l'empire tandis que sa mère, grand fanatique du dieu solaire syrien, s'emploie à développer sa religion. Pour le jeune empereur tout n'est que jeux, orgies et sexe, dans la plus grande démesure.
Portrait peu flatteur pour ce jeune empereur totalement sous la coupe des femmes de sa famille. Si le tome mettait en avant le rôle de Julia sa grand-mère, dans ce deuxième tome c'est celui plus fanatique de Julia sa mère. Et le troisième tome verra certainement l'avènement de Julia sa tante.
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