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Critique de VirginieCM
Après avoir découvert ses origines dans le premier tome, Tolbiac Juillet est perdu. Chargé par son père adoptif de retrouvé sa fille biologique à Chicago, il fuit, sa lançant dans un tour du monde à la découverte de la magie. du fakirisme au chamanisme, il se livre à une espèce de voyage initiatique, avant finalement de se rendre à l'évidence : il lui faut retrouver Erin, avant de rentrer en France et d'affronter son identité…
J'ai laissé passer beaucoup de temps entre la lecture de ces deux tomes. Néanmoins, j'ai retrouvé l'univers complètement farfelu de l'auteur avec un grand plaisir. Si j'avais adoré plonger dans la cuvette des toilettes avec le personnage dans la Fenêtre de Dieu, je dois quand même admettre qu'ici, c'est moins original.
De plus, le voyage initiatique auquel se livre Tolbiac, à travers la magie et les expériences ésotériques ne m'a pas forcément passionnée. Je me suis donc un peu ennuyée à la lecture du premier tiers du livre, que j'ai trouvé poussif.
La suite est nettement plus intéressante, pleine d'émotions d'abord, puis de drôlerie, et là, j'ai vraiment retrouvé l'esprit en dehors de la réalité qui m'avait plu à la lecture de la Fenêtre de Dieu. Ma lecture s'est donc poursuivie avec davantage d'entrain.
Quoi qu'il en soit, il me reste à terminer la trilogie (puisque c'en est une), parce que, malgré le sentiment mitigé laissé par « En bord de mère », je suis fan du style, et de l'univers de Cédric Blondelot.
J'ai laissé passer beaucoup de temps entre la lecture de ces deux tomes. Néanmoins, j'ai retrouvé l'univers complètement farfelu de l'auteur avec un grand plaisir. Si j'avais adoré plonger dans la cuvette des toilettes avec le personnage dans la Fenêtre de Dieu, je dois quand même admettre qu'ici, c'est moins original.
De plus, le voyage initiatique auquel se livre Tolbiac, à travers la magie et les expériences ésotériques ne m'a pas forcément passionnée. Je me suis donc un peu ennuyée à la lecture du premier tiers du livre, que j'ai trouvé poussif.
La suite est nettement plus intéressante, pleine d'émotions d'abord, puis de drôlerie, et là, j'ai vraiment retrouvé l'esprit en dehors de la réalité qui m'avait plu à la lecture de la Fenêtre de Dieu. Ma lecture s'est donc poursuivie avec davantage d'entrain.
Quoi qu'il en soit, il me reste à terminer la trilogie (puisque c'en est une), parce que, malgré le sentiment mitigé laissé par « En bord de mère », je suis fan du style, et de l'univers de Cédric Blondelot.
