C'était le bonheur

Une série de croquis nerveux, fiévreux, convulsifs,
Fines esquisses suspendues comme en apesanteur,
Du trait fin la torpeur couchée dans un carnet de notes.

Il est question de sentiments qui passent,
de l'amour qui fait place au quotidien
de l'enfant roi qui use et éloigne ses géniteurs
du temps qui s'égrène,
de solitude.
De rares phylactères actent les violentes disputes de couple.

Adieu le bonheur, bonjour la rancoeur.