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Critique de LeScribouillard
Ah, si les jeunes pouvaient partir comme ça en roulotte sans que leurs parents aillent rouspéter derrière... Problème : là où le Club des Cinq passe, il y a systématiquement des histoires de trésors et de criminels, et on est repartis pour un tour. Et évidemment, pas la moindre compassion ne sera envisageable pour les antagonistes, et ce du début à la fin. Pourtant, l'un d'entre eux étant un clown, ç'aurait été possible...
On ne va donc pas se mentir, ce tome-ci n'est donc pas un chef-d'oeuvre non plus. Mais il sait une fois de plus montrer l'amitié des Cinq entre eux et avec les autres enfants et instaurer un suspense léger mais efficace. Et surtout faire cohabiter les deux, ce qui, il faut bien le dire, n'est pas souvent gagné d'avance.
On ne va donc pas se mentir, ce tome-ci n'est donc pas un chef-d'oeuvre non plus. Mais il sait une fois de plus montrer l'amitié des Cinq entre eux et avec les autres enfants et instaurer un suspense léger mais efficace. Et surtout faire cohabiter les deux, ce qui, il faut bien le dire, n'est pas souvent gagné d'avance.
