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Critique de isabelleisapure
J'ai retrouvé pour deux heures mes amis d'enfance.
Ils n'ont pas changé, pour moi en tous cas, je les ai retrouvés tels que je les ai quittés, il y a tellement d'années.
Annie, Claude, Mick, François et Dagobert.
Bien sûr, ils ont toujours de grandes aventures, un tas de friandises à partager pour se remettre de leurs émotions.
Ici, c'est l'univers du cirque qu'ils découvrent, émerveillés par l'éléphant, les chiens savants, les chevaux qui dansent, présentés par Pancho un garçon de leur âge.
Mais que se passe-t-il ? Pourquoi le clown et l'acrobate montrent une telle hostilité à leur égard, les invitant à déguerpir le plus rapidement possible ?
Il faut en avoir le coeur net. Attention, le spectacle commence !
Relire mes livres d'enfant me plonge dans une bulle de nostalgie face au temps qui passe vite, trop vite.
Je me revois chez ma grand-mère, le nez dans mon livre, tellement happée par l'histoire que la terre aurait pu s'écrouler.
Rien ne me faisait bouger, ah si… l'odeur des bonnes crêpes du goûter !
Nostalgie, quand tu nous tiens !
Ils n'ont pas changé, pour moi en tous cas, je les ai retrouvés tels que je les ai quittés, il y a tellement d'années.
Annie, Claude, Mick, François et Dagobert.
Bien sûr, ils ont toujours de grandes aventures, un tas de friandises à partager pour se remettre de leurs émotions.
Ici, c'est l'univers du cirque qu'ils découvrent, émerveillés par l'éléphant, les chiens savants, les chevaux qui dansent, présentés par Pancho un garçon de leur âge.
Mais que se passe-t-il ? Pourquoi le clown et l'acrobate montrent une telle hostilité à leur égard, les invitant à déguerpir le plus rapidement possible ?
Il faut en avoir le coeur net. Attention, le spectacle commence !
Relire mes livres d'enfant me plonge dans une bulle de nostalgie face au temps qui passe vite, trop vite.
Je me revois chez ma grand-mère, le nez dans mon livre, tellement happée par l'histoire que la terre aurait pu s'écrouler.
Rien ne me faisait bouger, ah si… l'odeur des bonnes crêpes du goûter !
Nostalgie, quand tu nous tiens !
