Sans doute l'ouvrage de
Christian Bobin auquel je suis resté le plus hermétique ...
Non pas que je n'aime pas ... la langue est belle, la poésie, la mélancolie sont là.
Mais je me suis senti un peu perdu. Et il faudra à n'en pas douter que je m'y replonge. Parce que, sans doute, j'ai lu trop vite, comme cela m'arrive trop souvent.
Et je crois que Bobin se déguste. Qu'il doit se savourer, page après page.
Mon "avis", si tant est qu'il ait une valeur quelconque, n'est donc pas définitif. Et pour la première fois, j'ai donc peut-être rédigé une chronique évolutive.
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