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Critique de Pois0n
Si vous faites partie des inconditionnels de Beatrix Potter, le monde miniature et les bestioles mignonnes de Tanya Bogema, illustratrice freelance ukrainienne, ne manqueront alors pas de vous séduire.
Comme son nom l'indique, la série « Nice Little Town » recrée le monde magique et merveilleux de nos contes d'enfance. Maisons creusées dans des champignons, toits en feuilles ou en coquilles d'escargots, lampes-pétales-de-fleurs et souris en robe se côtoient au sein d'illustrations pleines de charme et extrêmement détaillées, sans pour autant tomber dans « l'enfantin ». La couverture précise d'ailleurs que cet ouvrage est avant tout destiné aux grandes personnes, même si un enfant soigneux pourra également y trouver son compte.
Contrairement à la plupart des livres de coloriage parus dans nos contrées, Nice Little Town 4 est un hybride entre les coloriages de type « lineart » classiques et les coloriages « greyscale » où l'on se laisse guider par les nuances de gris de la trame. de quoi dérouter certains des commentateurs Amazon, n'ayant visiblement jamais rencontré de coloriages grisés auparavant. Mis à part deux pages réellement greyscale, le gris se fait, heureusement pour les néophytes, plutôt discret et sert la plupart du temps seulement de guide pour les ombrages. Toutefois, jeter un coup d'oeil aux tutoriels pourra aider pour les planches concernées (hop, c'est cadeau :).
Mis à part cette petite particularité, Nice Little Town 4 est donc le parfait livre de coloriage. Les illustrations, au nombre d'une trentaine, sont d'une qualité irréprochable et chaque page est doublée d'un rectangle noir pour éviter que l'on ne voie à travers le fin papier des livres imprimés à la demande par Amazon. Conseil : mettez néanmoins une page blanche en dessous pour ne pas que le noir se dépose sur l'illustration suivante.
On aimera ou pas la vingtaine d'illustrations bonus présentant les autres ouvrages de l'auteure : les volumes précédents et les hors-série saisonniers de Nice Little Town bien sûr, mais aussi d'autres sans rapport comme ses recueils steampunk. En soi, pourquoi pas, même si le nombre important de ces « pages de pub » par rapport à celles du livre lui-même pourra surprendre. Mais bon, au pire, ça fait du coloriage en plus.
C'est beau, c'est mignon, ça change des mandalas et autres motifs floraux auxquels les éditeurs français nous ont habitués et en plus, l'ouvrage est proposé un à prix vraiment riquiqui : à moins d'être allergique aux villages miniatures, difficile de ne pas fondre pour l'adorable petit monde de Tanya Bogema !
Comme son nom l'indique, la série « Nice Little Town » recrée le monde magique et merveilleux de nos contes d'enfance. Maisons creusées dans des champignons, toits en feuilles ou en coquilles d'escargots, lampes-pétales-de-fleurs et souris en robe se côtoient au sein d'illustrations pleines de charme et extrêmement détaillées, sans pour autant tomber dans « l'enfantin ». La couverture précise d'ailleurs que cet ouvrage est avant tout destiné aux grandes personnes, même si un enfant soigneux pourra également y trouver son compte.
Contrairement à la plupart des livres de coloriage parus dans nos contrées, Nice Little Town 4 est un hybride entre les coloriages de type « lineart » classiques et les coloriages « greyscale » où l'on se laisse guider par les nuances de gris de la trame. de quoi dérouter certains des commentateurs Amazon, n'ayant visiblement jamais rencontré de coloriages grisés auparavant. Mis à part deux pages réellement greyscale, le gris se fait, heureusement pour les néophytes, plutôt discret et sert la plupart du temps seulement de guide pour les ombrages. Toutefois, jeter un coup d'oeil aux tutoriels pourra aider pour les planches concernées (hop, c'est cadeau :).
Mis à part cette petite particularité, Nice Little Town 4 est donc le parfait livre de coloriage. Les illustrations, au nombre d'une trentaine, sont d'une qualité irréprochable et chaque page est doublée d'un rectangle noir pour éviter que l'on ne voie à travers le fin papier des livres imprimés à la demande par Amazon. Conseil : mettez néanmoins une page blanche en dessous pour ne pas que le noir se dépose sur l'illustration suivante.
On aimera ou pas la vingtaine d'illustrations bonus présentant les autres ouvrages de l'auteure : les volumes précédents et les hors-série saisonniers de Nice Little Town bien sûr, mais aussi d'autres sans rapport comme ses recueils steampunk. En soi, pourquoi pas, même si le nombre important de ces « pages de pub » par rapport à celles du livre lui-même pourra surprendre. Mais bon, au pire, ça fait du coloriage en plus.
C'est beau, c'est mignon, ça change des mandalas et autres motifs floraux auxquels les éditeurs français nous ont habitués et en plus, l'ouvrage est proposé un à prix vraiment riquiqui : à moins d'être allergique aux villages miniatures, difficile de ne pas fondre pour l'adorable petit monde de Tanya Bogema !
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