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Critique de LoupAlunettes
Un album de plus, réjouissant tout en pop-up, en recette de couleurs vives et formes sobres.
C'est une invitation au voyage, à la marche, à la rencontre de la vie sauvage et d'une nature plus grande que soi, mais aussi une destination vers la profondeur technique du livre (et peut-être aussi celle de la vie. Renouer avec soi et l'essentiel).
Point de départ au refuge avec notre héroïne Lou. Illustrations tout en aplats, au retour, idem et la boucle sera bouclée. Elle aura aperçu ce quelle cherchait et sa mine de fin est rêveuse.
Entre la double-page d'introduction et celle de conclusion: une mission personnelle, une curiosité qui excitera Lou et qui la dévorera gentiment jusqu'au jour J.
Lou, la jeune fille de passage au refuge, n'aura qu'une obsession, croiser le chemin de quelqu'un qui vit dans les hauteurs de la montagne.
Cap dans les montagnes et le paysage tout en pop-up.
La technique concrétisera parfois la distance à parcourir pour Lou, le premier plan, le second, le troisième, le quatrième, qui seront liés par le chemin qui conduira à la montagne ou bien nous invitera à faire une halte, nous installant dans une scène remplis d'animaux et de fleurs à observer. Un instantané en 3D comme un diorama .
Ce personnage mystère, dont on ne connaitra pas la nature avant de l'avoir vu, semblera un peu solitaire, on le déduira, sauvage, il aura une légende que Lou ne partagera pas tout de suite avec nous.
Avant cela, il y aura tout le voyage à profiter et le récit sera un peu raconté ainsi, comme un moment de contemplation de la nature étape par étape du parcours de marche.
C'est le plaisir du marcheur.
(Robert Louis Stevenson ( "L'étrange cas du Docteur Jekyll et de Mister Hyde", "L'île aux Trésors", "Voyage avec un âne dans les Cévennes": « L'important, ce n'est pas la destination, c'est le voyage. »)
À la fin, c'est la bouffée d'air frais et l'émerveillement, même pour le lecteur.
La prouesse du pop-up, c'est toujours magique.
Il était une fois, Lou qui rencontre Loup...
C'est une invitation au voyage, à la marche, à la rencontre de la vie sauvage et d'une nature plus grande que soi, mais aussi une destination vers la profondeur technique du livre (et peut-être aussi celle de la vie. Renouer avec soi et l'essentiel).
Point de départ au refuge avec notre héroïne Lou. Illustrations tout en aplats, au retour, idem et la boucle sera bouclée. Elle aura aperçu ce quelle cherchait et sa mine de fin est rêveuse.
Entre la double-page d'introduction et celle de conclusion: une mission personnelle, une curiosité qui excitera Lou et qui la dévorera gentiment jusqu'au jour J.
Lou, la jeune fille de passage au refuge, n'aura qu'une obsession, croiser le chemin de quelqu'un qui vit dans les hauteurs de la montagne.
Cap dans les montagnes et le paysage tout en pop-up.
La technique concrétisera parfois la distance à parcourir pour Lou, le premier plan, le second, le troisième, le quatrième, qui seront liés par le chemin qui conduira à la montagne ou bien nous invitera à faire une halte, nous installant dans une scène remplis d'animaux et de fleurs à observer. Un instantané en 3D comme un diorama .
Ce personnage mystère, dont on ne connaitra pas la nature avant de l'avoir vu, semblera un peu solitaire, on le déduira, sauvage, il aura une légende que Lou ne partagera pas tout de suite avec nous.
Avant cela, il y aura tout le voyage à profiter et le récit sera un peu raconté ainsi, comme un moment de contemplation de la nature étape par étape du parcours de marche.
C'est le plaisir du marcheur.
(Robert Louis Stevenson ( "L'étrange cas du Docteur Jekyll et de Mister Hyde", "L'île aux Trésors", "Voyage avec un âne dans les Cévennes": « L'important, ce n'est pas la destination, c'est le voyage. »)
À la fin, c'est la bouffée d'air frais et l'émerveillement, même pour le lecteur.
La prouesse du pop-up, c'est toujours magique.
Il était une fois, Lou qui rencontre Loup...
