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Critique de Mamzellegazelle
*** Toi, toi, mon Toit ...***
C'est toujours un grand moment de découvrir un roman de Nil Borny, qui se dit "conteur de sornettes". On est sûr de passer un bon moment loufoque et de faire connaissance avec un personnage qui aura le rôle de pitre dans l'histoire. Une fois de plus, j'ai passé un très bon moment de lecture. Lire l'auteur, c'est à coup sûr oublier les tracas de la vie quotidienne et partir pour un triathlon littéraire sans temps mort, et, effréné, couronné par son humour égal à lui-même.
Je vais essayer de faire cette chronique sans trop dévoiler l'histoire (ce qui n'est pas chose aisée).
Si vous habitez Paris, chers amis, surveillez vos toits, vos façades. Si vous voyez, la nuit, un jeune homme, bondir ça et là, pas de panique c'est normal ! C'est Adrien !
Adrien, sa vie a basculé du jour au lendemain, ou devrais-je dire d'une nuit à l'aube. le voilà avec une sale tronche, à perdre ses dents, vomissant ses tripes dès qu'il mange un truc, mais avide de nourriture très particulière.
Tout ça par la faute de Svetlana, une magnifique rouquine, avec son vocabulaire venu d'un autre temps bien lointain.
Adrien la déteste. A cause d'elle sa vie n'a plus aucun sens.
Obligé de vivre la nuit, Adrien sera forcé de faire des choses qu'il n'osait pas même imaginer avant sa rencontre d'avec la belle rousse.
Bientôt, dans la capitale française, des cadavres horriblement mutilés seront découverts par la brigade criminelle. L'équipe chargée de l'enquête, Gustave et Antoine, sont complètement dépassés quand le médecin légiste, Martha, leur annonce que cette mutinerie n'est pas l'oeuvre ni d'un animal, ni d'un humain.
Commençant leur enquête, l'équipe de choc est loin de se douter où celle-ci va les mener.
Après sa saga "Le début de la faim", encore un bon roman "Feel Blood" à découvrir. Il est piquant (c'est le moins qu'on puisse dire), avec beaucoup de tendresse, d'humour, et de "rebondissements" (on peut le dire aussi) bref, ce roman est "sang - sationnel" et je n'ai qu'une chose encore à dire : Que Anne Rice et Bram Stocker n'ont qu'à bien se tenir !!
C'est toujours un grand moment de découvrir un roman de Nil Borny, qui se dit "conteur de sornettes". On est sûr de passer un bon moment loufoque et de faire connaissance avec un personnage qui aura le rôle de pitre dans l'histoire. Une fois de plus, j'ai passé un très bon moment de lecture. Lire l'auteur, c'est à coup sûr oublier les tracas de la vie quotidienne et partir pour un triathlon littéraire sans temps mort, et, effréné, couronné par son humour égal à lui-même.
Je vais essayer de faire cette chronique sans trop dévoiler l'histoire (ce qui n'est pas chose aisée).
Si vous habitez Paris, chers amis, surveillez vos toits, vos façades. Si vous voyez, la nuit, un jeune homme, bondir ça et là, pas de panique c'est normal ! C'est Adrien !
Adrien, sa vie a basculé du jour au lendemain, ou devrais-je dire d'une nuit à l'aube. le voilà avec une sale tronche, à perdre ses dents, vomissant ses tripes dès qu'il mange un truc, mais avide de nourriture très particulière.
Tout ça par la faute de Svetlana, une magnifique rouquine, avec son vocabulaire venu d'un autre temps bien lointain.
Adrien la déteste. A cause d'elle sa vie n'a plus aucun sens.
Obligé de vivre la nuit, Adrien sera forcé de faire des choses qu'il n'osait pas même imaginer avant sa rencontre d'avec la belle rousse.
Bientôt, dans la capitale française, des cadavres horriblement mutilés seront découverts par la brigade criminelle. L'équipe chargée de l'enquête, Gustave et Antoine, sont complètement dépassés quand le médecin légiste, Martha, leur annonce que cette mutinerie n'est pas l'oeuvre ni d'un animal, ni d'un humain.
Commençant leur enquête, l'équipe de choc est loin de se douter où celle-ci va les mener.
Après sa saga "Le début de la faim", encore un bon roman "Feel Blood" à découvrir. Il est piquant (c'est le moins qu'on puisse dire), avec beaucoup de tendresse, d'humour, et de "rebondissements" (on peut le dire aussi) bref, ce roman est "sang - sationnel" et je n'ai qu'une chose encore à dire : Que Anne Rice et Bram Stocker n'ont qu'à bien se tenir !!
