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Critique de ShayHlyn_Farfouine
Le concept du « jour sans fin » est un grand classique international. On ne compte plus les films, les séries ou les oeuvres littéraires sur le sujet. Mais dans la majeure partie des cas, le ou les héros ont soit une leçon à tirer de cette aventure, soit une mission. Ici, de l'aveu même de l'auteur en postface : « La trame de mon manga est floue et peu compréhensible ».
C'est le cas de le dire… très vite, nous apprenons que Pieta vit depuis au moins 1033 jours son 16e anniversaire. du moins est-ce le cas en début d'ouvrage. 1033 fois où elle a tenté de changer la routine, de diversifier ses activités, d'essayer de changer ne fusse qu'un détail pour enfin voir poindre le lendemain… en vain. Mais sa solitude va être bouleversée quand sa meilleure amie, Danae, va se retrouver, elle-aussi piégée dans ce cercle infernal. Pourquoi ? Comment ? Mystère ! Tout au plus peut-on espérer une once de révélation en fin de tome, mais encore… rien n'est moins sûr.
L'idée est pourtant intéressante. La ville où vivent nos héroïnes est étrangement, et perpétuellement, sous la pluie. Tout au plus Pieta se souvient-elle d'un seul jour ensoleillé survenu 10 ans plus tôt. Sinon, ce sont parapluie et éclaboussures à longueur de temps… de même que sa fête d'anniversaire chaque soir avec sa maman. Ce qui, en soi, est un sacré challenge pour l'auteur de réussir à intéresser le lecteur malgré les répétitions.
Le style graphique de Mochito Bota y est pour beaucoup. Malgré la pluie fine en continu, les personnages sont attractifs et les décors énigmatiques. Comme cette vieille bâtisse où les deux jeunes filles se rendent pour tenter de rompre le fil temporel. du coup, on finit pas être intrigué et vouloir, quand même, connaître la suite pour mieux comprendre et espérer que Pieta va s'en sortir malgré le final de ce premier tome qui est… surprenant et présage d'une suite encore plus sombre qu'un ciel gris.
Lien : https://sambabd.net/2022/11/..
C'est le cas de le dire… très vite, nous apprenons que Pieta vit depuis au moins 1033 jours son 16e anniversaire. du moins est-ce le cas en début d'ouvrage. 1033 fois où elle a tenté de changer la routine, de diversifier ses activités, d'essayer de changer ne fusse qu'un détail pour enfin voir poindre le lendemain… en vain. Mais sa solitude va être bouleversée quand sa meilleure amie, Danae, va se retrouver, elle-aussi piégée dans ce cercle infernal. Pourquoi ? Comment ? Mystère ! Tout au plus peut-on espérer une once de révélation en fin de tome, mais encore… rien n'est moins sûr.
L'idée est pourtant intéressante. La ville où vivent nos héroïnes est étrangement, et perpétuellement, sous la pluie. Tout au plus Pieta se souvient-elle d'un seul jour ensoleillé survenu 10 ans plus tôt. Sinon, ce sont parapluie et éclaboussures à longueur de temps… de même que sa fête d'anniversaire chaque soir avec sa maman. Ce qui, en soi, est un sacré challenge pour l'auteur de réussir à intéresser le lecteur malgré les répétitions.
Le style graphique de Mochito Bota y est pour beaucoup. Malgré la pluie fine en continu, les personnages sont attractifs et les décors énigmatiques. Comme cette vieille bâtisse où les deux jeunes filles se rendent pour tenter de rompre le fil temporel. du coup, on finit pas être intrigué et vouloir, quand même, connaître la suite pour mieux comprendre et espérer que Pieta va s'en sortir malgré le final de ce premier tome qui est… surprenant et présage d'une suite encore plus sombre qu'un ciel gris.
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