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Critique de beginningofthestory
Un roman puissant, centré sur l'anorexie, et plus largement, sur l'acceptation de soi. On assiste à la descente aux enfers de Sunlight, à son déni, sa lutte, puis sa reconstruction qui est loin d'être un chemin tranquille.
Je ne connaissais cette maladie que dans les grandes lignes, sans pour autant la sous-estimer, je crois que je n'avais pas mesuré l'étendue des dégâts physiques et mentaux qu'elle peut causer.
Sophie traite le sujet avec justesse, sans jugement ni paroles moralisatrices. J'ai apprécié qu'il n'y ait pas de promesse en l'air, pas de guérison foudroyante, juste des vérités : laisser le temps au temps, accepter les rechutes, savourer les petites victoires.
Plus qu'une simple histoire d'amour, on parle ici de s'aimer et s'accepter soi-même, pour pouvoir s'épanouir seul.e ou à deux.
La romance entre Sun et Thibault est très douce malgré les obstacles. C'est plutôt rare, un personnage masculin timide, et ça ne le rend que plus attachant. On le voit devenir un véritable appui pour Sun, tandis qu'elle lui accorde cet amour qu'il pensait ne pas mériter… Ils se sauvent mutuellement. Difficile de ne pas craquer devant toute cette tendresse.
Les autres relations apportent énormément à l'histoire, en particulier l'amitié inconditionnelle entre Sun et Kellan… Tout comme la place de l'art comme moyen d'expression qui vient étoffer cette histoire déjà bien travaillée.
C'est un beau pavé de plus de 500 pages, mais je n'ai pas eu de sensation de longueur. J'ai eu le coeur serré, j'ai pleuré, paniqué, appréhendé chaque rechute, soupiré de soulagement, espéré une amélioration… Impossible de rester insensible face à tout ce chemin parcouru par Sun.
Entre son thème inédit pour moi, ses personnages attachants et sa playlist idéale, je me souviendrai de ce roman !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Je ne connaissais cette maladie que dans les grandes lignes, sans pour autant la sous-estimer, je crois que je n'avais pas mesuré l'étendue des dégâts physiques et mentaux qu'elle peut causer.
Sophie traite le sujet avec justesse, sans jugement ni paroles moralisatrices. J'ai apprécié qu'il n'y ait pas de promesse en l'air, pas de guérison foudroyante, juste des vérités : laisser le temps au temps, accepter les rechutes, savourer les petites victoires.
Plus qu'une simple histoire d'amour, on parle ici de s'aimer et s'accepter soi-même, pour pouvoir s'épanouir seul.e ou à deux.
La romance entre Sun et Thibault est très douce malgré les obstacles. C'est plutôt rare, un personnage masculin timide, et ça ne le rend que plus attachant. On le voit devenir un véritable appui pour Sun, tandis qu'elle lui accorde cet amour qu'il pensait ne pas mériter… Ils se sauvent mutuellement. Difficile de ne pas craquer devant toute cette tendresse.
Les autres relations apportent énormément à l'histoire, en particulier l'amitié inconditionnelle entre Sun et Kellan… Tout comme la place de l'art comme moyen d'expression qui vient étoffer cette histoire déjà bien travaillée.
C'est un beau pavé de plus de 500 pages, mais je n'ai pas eu de sensation de longueur. J'ai eu le coeur serré, j'ai pleuré, paniqué, appréhendé chaque rechute, soupiré de soulagement, espéré une amélioration… Impossible de rester insensible face à tout ce chemin parcouru par Sun.
Entre son thème inédit pour moi, ses personnages attachants et sa playlist idéale, je me souviendrai de ce roman !
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