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Critique de Exquimots
Ce mercredi matin, dans un hôpital parisien, une femme accouche de son second enfant. Après tant d'efforts, elle met au monde une magnifique petite fille aux joues roses. Louise.
Mais le bonheur des nouveaux parents n'est que de courte durée, car ils s'aperçoivent rapidement que quelque chose ne va pas. Ils sont persuadés que leur fille n'est pas « normale ». Son regard n'est pas celui d'une enfant comme les autres.
La culpabilité les paralyse, tout comme l'angoisse. Honteuse et inquiète, cette mère ne peut chasser la panique qui la gagne, et cela malgré le ton rassurant de l'équipe médicale. On dit qu'une femme sent ces choses…
Après des examens complémentaires, les résultats du caryotype tombent et cette fois-ci, le doute n'est plus permis. Louise est belle est bien atteinte de trisomie 21.
Il va falloir du temps, beaucoup de temps, avant de pouvoir accepter cette nouvelle. Ce handicap est la faute à beaucoup de choses, mais ce n'est certainement pas celle de Louise. Leur petit bout ne mérite pas d'endosser un tel fardeau. Leur enfant est différent, mais reste tout de même leur petite fille.
La jeune femme pleure, non pas car elle doute de ses sentiments envers sa fille, mais parce qu'elle prend conscience de ce qui les attend. Louise est née avec un handicap qui la rend si particulière, et le monde dans lequel elle va grandir ne sera pas toujours tendre avec elle…
Lien : https://www.exquimots.fr/liv..
Mais le bonheur des nouveaux parents n'est que de courte durée, car ils s'aperçoivent rapidement que quelque chose ne va pas. Ils sont persuadés que leur fille n'est pas « normale ». Son regard n'est pas celui d'une enfant comme les autres.
La culpabilité les paralyse, tout comme l'angoisse. Honteuse et inquiète, cette mère ne peut chasser la panique qui la gagne, et cela malgré le ton rassurant de l'équipe médicale. On dit qu'une femme sent ces choses…
Après des examens complémentaires, les résultats du caryotype tombent et cette fois-ci, le doute n'est plus permis. Louise est belle est bien atteinte de trisomie 21.
Il va falloir du temps, beaucoup de temps, avant de pouvoir accepter cette nouvelle. Ce handicap est la faute à beaucoup de choses, mais ce n'est certainement pas celle de Louise. Leur petit bout ne mérite pas d'endosser un tel fardeau. Leur enfant est différent, mais reste tout de même leur petite fille.
La jeune femme pleure, non pas car elle doute de ses sentiments envers sa fille, mais parce qu'elle prend conscience de ce qui les attend. Louise est née avec un handicap qui la rend si particulière, et le monde dans lequel elle va grandir ne sera pas toujours tendre avec elle…
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