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Critique de anlixelle
Dans les albums de Claude Boujon Grenouilles, renards, et évidemment lapins nous entraînent dans des périples
qui nous interpellent d'autant plus que leurs maux trouvent souvent leur origine dans leur quotidien assez proche du notre.
Les petits lecteurs s'identifient ainsi facilement avec les mésaventures décrites là.
Dans Bon appétit Monsieur Renard, celui-ci savoure sa dernière bouchée de viande et réfléchit. ...
"Si je veux manger demain", se dit-il, "je dois sans tarder partir à la chasse."
Mais les renards sont toujours les perdants dans ce type d'ouvrage pour la jeunesse, preuve qu'être trop sûr de soi n'est pas toujours suivi de réussite. Être le plus grand des animaux du cheptel non plus.
Désabusé par ses premières (ridicules) tentatives de chasse, il se lance dans une série de vantardises (le mot "vantardise" plaît beaucoup aux enfants) rendues magnifiquement bien grâce au trait dynamique du regretté Claude Boujon.
Les dessins sont simples et plaisent d'autant plus qu'ils soutiennent très bien la compréhension du texte, pas si simple que ça car parsemé d'un lexique délicat pour les enfants de cycle 2.
Chacun s'y retrouve selon ses besoins langagiers.
Les jeunes écouteurs d'histoires reconnaissent quant à eux, avec bonheur les animaux que croise Monsieur le vantard, et pouffent de rire devant ses mauvaises rencontres jusqu'au final, inattendu.
qui nous interpellent d'autant plus que leurs maux trouvent souvent leur origine dans leur quotidien assez proche du notre.
Les petits lecteurs s'identifient ainsi facilement avec les mésaventures décrites là.
Dans Bon appétit Monsieur Renard, celui-ci savoure sa dernière bouchée de viande et réfléchit. ...
"Si je veux manger demain", se dit-il, "je dois sans tarder partir à la chasse."
Mais les renards sont toujours les perdants dans ce type d'ouvrage pour la jeunesse, preuve qu'être trop sûr de soi n'est pas toujours suivi de réussite. Être le plus grand des animaux du cheptel non plus.
Désabusé par ses premières (ridicules) tentatives de chasse, il se lance dans une série de vantardises (le mot "vantardise" plaît beaucoup aux enfants) rendues magnifiquement bien grâce au trait dynamique du regretté Claude Boujon.
Les dessins sont simples et plaisent d'autant plus qu'ils soutiennent très bien la compréhension du texte, pas si simple que ça car parsemé d'un lexique délicat pour les enfants de cycle 2.
Chacun s'y retrouve selon ses besoins langagiers.
Les jeunes écouteurs d'histoires reconnaissent quant à eux, avec bonheur les animaux que croise Monsieur le vantard, et pouffent de rire devant ses mauvaises rencontres jusqu'au final, inattendu.
