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Critique de pictura
Récit d'un ultra-marathonien qui court, qui court, qui court… sur toute route telle qu'elle soit et ici, c'est en Antarctique.
Ce livre avait tout pour me plaire, ça parle de marathon (j'y ai participé), ça parle du continent polaire (ça, pas encore !!). Malek Boukerchi nous fait partager son expérience ou plutôt son rêve. Courir partout et découvrir le monde et pas que les paysages. Avec une simplicité naturelle, il nous marre son parcours, de l'inscription à l'Ice Marathon en Antarctique (ce n'est plus 42, 195 km mais 42,195 et 100 km le lendemain sur la banquise. Si si... ca existe, faut-il être givré pour s'inscrire hein ? ) jusqu'à la ligne d'arrivée.
La lecture est agréable, profondément optimiste, voire un chouia humaniste, amusante parfois avec ses jeux de mots genre « l'enfer-me- ment », avec des citations de toutes sortes, tirées de contes, de grands hommes ou de parfaits inconnus, beaucoup de modestie (parce qu'avec ce qu'il a fait, il pourrait se la péter), avec ses guetteurs de rêve comme il le dit. Un livre de son expérience, pas froid du tout, mais très chaleureux. On pourrait le critiquer en disant que le livre se parait d'une dimension naïve puisque cela parait simple après tout, il suit son rêve, celui de courir sur la banquise et c'est tout. Mais il y a toute la logistique derrière, le prix, la souffrance, le moral, la force physique, la force mentale. Malek se donne les moyens de le faire, il a un rêve et se donne à fond pour le réaliser. C'est naïf certes mais il a le courage de s'y engager.
Donc ce livre qui avait tout pour me plaire m'a vraiment plu. Un grand merci pour cette opération masse critique, merci à Malek Boukerchi qui nous encourage à suivre nos rêves et à s'y tenir, aux éditions l'Optimiste (qui porte bien son nom).
Ce livre avait tout pour me plaire, ça parle de marathon (j'y ai participé), ça parle du continent polaire (ça, pas encore !!). Malek Boukerchi nous fait partager son expérience ou plutôt son rêve. Courir partout et découvrir le monde et pas que les paysages. Avec une simplicité naturelle, il nous marre son parcours, de l'inscription à l'Ice Marathon en Antarctique (ce n'est plus 42, 195 km mais 42,195 et 100 km le lendemain sur la banquise. Si si... ca existe, faut-il être givré pour s'inscrire hein ? ) jusqu'à la ligne d'arrivée.
La lecture est agréable, profondément optimiste, voire un chouia humaniste, amusante parfois avec ses jeux de mots genre « l'enfer-me- ment », avec des citations de toutes sortes, tirées de contes, de grands hommes ou de parfaits inconnus, beaucoup de modestie (parce qu'avec ce qu'il a fait, il pourrait se la péter), avec ses guetteurs de rêve comme il le dit. Un livre de son expérience, pas froid du tout, mais très chaleureux. On pourrait le critiquer en disant que le livre se parait d'une dimension naïve puisque cela parait simple après tout, il suit son rêve, celui de courir sur la banquise et c'est tout. Mais il y a toute la logistique derrière, le prix, la souffrance, le moral, la force physique, la force mentale. Malek se donne les moyens de le faire, il a un rêve et se donne à fond pour le réaliser. C'est naïf certes mais il a le courage de s'y engager.
Donc ce livre qui avait tout pour me plaire m'a vraiment plu. Un grand merci pour cette opération masse critique, merci à Malek Boukerchi qui nous encourage à suivre nos rêves et à s'y tenir, aux éditions l'Optimiste (qui porte bien son nom).
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