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Critique de dlcb26
Je dois cette lecture à mon filleul qui du haut de ses 9 ans (et demi !) était épaté que je ne connaisse pas cette série, moi prof d'histoire-géo (au collège-lycée).
J'ai bien aimé le dessin assez soigné, aux tracés nets et colorés. On distingue bien les personnages.
Les dialogues sont frais et assez réalistes et concordant avec l'âge et le caractère des personnages (étant Normande, le fameux "parisien tête de chien, parigot tête de veau" je connais bien !)
L'histoire et L Histoire commencent gentiment.
Les notes de bas de page pour le vocabulaire et les indications historiques finales sont bienvenues et pertinentes pour le jeune public destinataire de l'ouvrage. Bel effort pédagogique.
Mon bémol, c'est l'adoption du cochon : un paysan qui achète et fait d'un cochon un animal de compagnie par temps de guerre, même pour ses petits enfants, je ne suis pas trop convaincue (mes grands parents avaient des animaux à la ferme et même si les animaux avaient parfois des noms, quand sonnait le moment : couic ! c'est comme ça que je n'ai plus jamais mangé de lapin ! ) et je pense -gros comme une maison- que la vie du cochon va être un fil conducteur de l'histoire (il ne doit pas être mangé, surtout pas par l'occupant nazi ?)
C'est quand même bien trouvé et je m'en vais lire la suite !
J'ai bien aimé le dessin assez soigné, aux tracés nets et colorés. On distingue bien les personnages.
Les dialogues sont frais et assez réalistes et concordant avec l'âge et le caractère des personnages (étant Normande, le fameux "parisien tête de chien, parigot tête de veau" je connais bien !)
L'histoire et L Histoire commencent gentiment.
Les notes de bas de page pour le vocabulaire et les indications historiques finales sont bienvenues et pertinentes pour le jeune public destinataire de l'ouvrage. Bel effort pédagogique.
Mon bémol, c'est l'adoption du cochon : un paysan qui achète et fait d'un cochon un animal de compagnie par temps de guerre, même pour ses petits enfants, je ne suis pas trop convaincue (mes grands parents avaient des animaux à la ferme et même si les animaux avaient parfois des noms, quand sonnait le moment : couic ! c'est comme ça que je n'ai plus jamais mangé de lapin ! ) et je pense -gros comme une maison- que la vie du cochon va être un fil conducteur de l'histoire (il ne doit pas être mangé, surtout pas par l'occupant nazi ?)
C'est quand même bien trouvé et je m'en vais lire la suite !
